Comics du jour, bonjour

Hé bé, je suis bien surpris !

Quelle influence tu as, mon Pépère!   
   

 Si seulement j'avais pu avoir la même sur une palanquée de titres maintenant oubliés ...

Ah bah si, tu avais une influence : si tu achetais, le titre disparaissait ! Cela reste une influence !  

Toi, tu viens samedi, c'est ça ?    

ça dépend : y a jeu de recherche de comic book ?

Relu Bone du tome 2 au tome 9 : ça se relit avec plaisir, même si c'est un peu frustrant de ne pas pouvoir lire la fin pour le moment. Stupides stupides ras-garous   

Actes de Vengeance !, l'Omnibus.
Donc il manque plein de numéros.
Je n'attendais pas grand chose de cette histoire. Fight entre des héros et des méchants dont ils n'ont pas l'habitude, franchement, ce n'est même pas un concept.
Au final, c'est extrêmement anecdotique et étant en même temps du What-the-fuck caractérisé, surtout lorsqu'on en arrive à Spider-Man et ses nouveaux pouvoirs. Non seulement les épisodes sont redondants mais au final, c'est un splendide "tout ça pour ça".
Comme prévu, les meilleurs épisodes étaient ceux de West Coast Avengers, autant narrativement que graphiquement.

The Multiversity #1
Ne me demandez pas, j'ai pas tout suivi. Y'a des trucs rigolos, y'a des trucs chiants, ça mérite très certainement plusieurs relectures. Où est le plaisir de lecture immédiat que l'on trouvait dans All Star Superman ?
Le dessin est au départ assez foiré, ça s'améliore par la suite. Ou alors on s'y habitue.

soyouz a écrit:

ça dépend : y a jeu de recherche de comic book ?

Bien sûr, comme toujours!   
Même si parfois, le jeu consiste à trouver des comics... sans savoir lesquels. Beaucoup plus dur.   

Harley Quinn Invades Comic-Con International: San Diego #1 :

Numéro spécial d'une quarantaine de planches où, comme son nom l'indique, Harley Quinn se rend au Comic Con de San Diego. Et y sème la zizanie, bien entendu. Le dessin, assuré par divers artistes, est solidement déjanté. Le scénario est quant à lui plutôt gentillet et sans grande surprise. Ca aurait pu être mieux, mais ce n'est pas mauvais tout de même.

DC Comics Presents: Batman Adventures #1 :

Compilation de quatre épisodes dérivés de la fameuse série animée des années 90. Je préfère l'élégance narrative de Ty Templeton au style plus rigide de Rick Burchett. Restent quatre histoires bien choisies de par les jolis partis pris de leurs scénarios respectifs inscrits dans une publication jeunesse. Pour conclure, un petit récit anecdotique mais très beau de Paul Dini & Bruce Timm.

Rawhide Kid a écrit:

Actes de Vengeance !, l'Omnibus.
Donc il manque plein de numéros.
Je n'attendais pas grand chose de cette histoire. Fight entre des héros et des méchants dont ils n'ont pas l'habitude, franchement, ce n'est même pas un concept.
Au final, c'est extrêmement anecdotique et étant en même temps du What-the-fuck caractérisé, surtout lorsqu'on en arrive à Spider-Man et ses nouveaux pouvoirs. Non seulement les épisodes sont redondants mais au final, c'est un splendide "tout ça pour ça".
Comme prévu, les meilleurs épisodes étaient ceux de West Coast Avengers, autant narrativement que graphiquement.

The Multiversity #1
Ne me demandez pas, j'ai pas tout suivi. Y'a des trucs rigolos, y'a des trucs chiants, ça mérite très certainement plusieurs relectures. Où est le plaisir de lecture immédiat que l'on trouvait dans All Star Superman ?
Le dessin est au départ assez foiré, ça s'améliore par la suite. Ou alors on s'y habitue.

JE te sens blasé Rawhide. Pour les pouvoirs de spidey c'est amené dans la série bien avant le crossover et ça continue bien après.

Cinder & Ashe : pas mal du tout, c’est bien dense, histoire par forcément originale mais solide et c'est joli en plus !

kab a écrit:

JE te sens blasé Rawhide. Pour les pouvoirs de spidey c'est amené dans la série bien avant le crossover et ça continue bien après.

Ah bon ? C'est certainement cyclique, au bout d'un certain temps les comics me paraissent fades. J'ai arrêté Hitman et Preacher une l'époque...
Les pouvoir de Spidey sont présentés comme apparaissant et finissant dans le crossover. Je ne doute pas qu'ils s'en soient servis après quand même et qu'il y ait des pistes précédemment.
The Multiversity, c'est un peu écrit comme "Je vais faire un truc complexe mais je n'arrive pas à l'expliquer sans être compliqué alors autant y aller à fond". Et ça bavasse à mort, ce qui ajoute à la confusion car y'a tellement de texte superflu que ça ne donne pas envie de le lire. Mais, encore une fois, In Morrison I Trust donc il faut que je le relise.

Rocketeer /Spirit:pulp friction 1
Omac 2 (pour le père Munaro)

Rawhide Kid a écrit:

kab a écrit:

JE te sens blasé Rawhide. Pour les pouvoirs de spidey c'est amené dans la série bien avant le crossover et ça continue bien après.

Ah bon ? C'est certainement cyclique, au bout d'un certain temps les comics me paraissent fades. J'ai arrêté Hitman et Preacher une l'époque...
Les pouvoir de Spidey sont présentés comme apparaissant et finissant dans le crossover. Je ne doute pas qu'ils s'en soient servis après quand même et qu'il y ait des pistes précédemment.
The Multiversity, c'est un peu écrit comme "Je vais faire un truc complexe mais je n'arrive pas à l'expliquer sans être compliqué alors autant y aller à fond". Et ça bavasse à mort, ce qui ajoute à la confusion car y'a tellement de texte superflu que ça ne donne pas envie de le lire. Mais, encore une fois, In Morrison I Trust donc il faut que je le relise.

Pour Spidey il a encore les pouvoirs un moment vu qu'il doit affronter la Tri-Sentinel avec les pouvoirs changeat même de costume pour l'occasion.

Pour Momo, ben il fait du comme d'hab   

soyouz a écrit:

Cinder & Ashe : pas mal du tout, c’est bien dense, histoire par forcément originale mais solide et c'est joli en plus !

Garcia-Lopez, c'est la grande classe, pas vrai?   

SgtPépère a écrit:

Rocketeer /Spirit:pulp friction 1
Omac 2 (pour le père Munaro)

Ce n'est pas ici pour les acquisitions, mon Pépère.   
Et précisons que le OMAC #2, c'est celui de Byrne (c'est bien en N&B comme l'a dit Chris, non?).

Damned ! Désolé, je suis sur ma tablette ...

Über Vol.1 TPB :

Elle a mis son temps à voir le jour, cette série Avatar. Le scénariste britannique Kieron Gillen invente un prolongement de la Seconde Guerre Mondiale si les nazis avaient créé des surhumains. Dit comme ça, on pourrait légitimement craindre de tomber dans le mauvais goût le plus abject. Mais l'auteur a potassé son sujet. Et étudie l'humain coincé dans un contexte historique extrême. Et ce qu'il en montre est loin d'être radieux. Cet ancrage réaliste mis en parallèle avec l'élément fantastique donnent un titre solide. Le dessin est assuré par le nouveau venu Canaan White. Si l'on sent ses limites, cela ne l'empêche pas de s'appliquer remarquablement dans les détails, et ce à chaque page. Et oui, jusque dans les passages gores. Notamment lors du combat titanesque du dernier épisode de ce premier tome. Et dire que la suite annonce de monter encore plus dans les tours...

Absolution Vol.2 TPB :

Cet album contient la séquelle intitulée Rubicon ainsi que le one-shot dédié à Happy Kitty. La mini-série originale de Christos N. Gage & Roberto Viacava, si elle était vite lue, était un petit bijou de narration claire et nette au service d'un concept aussi simple que génial. Bref, irrémédiablement accrocheur. Qu'est-ce que Gage allait-il pouvoir inventer pour justifier une suite. Après l'attente, force est de constater que, même si l'on n'a plus la surprise de la découverte, c'est tout aussi bon. Le premier épisode est très réussi, et la suite s'enchaîne aisément, avec une prédilection pour l'action destructrice. Certes, on peut regretter que ça glisse vers une simplicité super-héroïque classique, mais c'est peut-être pour mieux nous surprendre lorsque les touches cruelles arrivent. La dernière planche pourrait appeler à une suite, qui clôturerait une trilogie, où le personnage principal évoluerait dans son discours... mais peut-être pas en bien. Changement de dessinateur, c'est Daniel Gete aux commandes. Et c'est toujours aussi fluide et coloré. Le one-shot contant l'origine du personnage secondaire culte Happy Kitty est illustré par son créateur visuel Paul Duffield. Aussi fun que mordant.

kab a écrit:

Pour Spidey il a encore les pouvoirs un moment vu qu'il doit affronter la Tri-Sentinel avec les pouvoirs changeat même de costume pour l'occasion.

Tout ça est dans l'Omnibus.
Faire monter la sauce pour se retrouver avec une Tri-Sentinelle sortie de nulle part présentée comme une super grosse menace, c'est bien décevant.
Et Shaw qui veut des sentinelles pour tuer des mutants alors qu'il est lui-même mutant

La tri-sentinel c'est dans l'omnibus ?

Diable je ne m'en souviens plus.

Duke_Oliver a écrit:

Absolution Vol.2 TPB :

Cet album contient la séquelle intitulée Rubicon ainsi que le one-shot dédié à Happy Kitty. La mini-série originale de Christos N. Gage & Roberto Viacava, si elle était vite lue, était un petit bijou de narration claire et nette au service d'un concept aussi simple que génial. Bref, irrémédiablement accrocheur. Qu'est-ce que Gage allait-il pouvoir inventer pour justifier une suite. Après l'attente, force est de constater que, même si l'on n'a plus la surprise de la découverte, c'est tout aussi bon. Le premier épisode est très réussi, et la suite s'enchaîne aisément, avec une prédilection pour l'action destructrice. Certes, on peut regretter que ça glisse vers une simplicité super-héroïque classique, mais c'est peut-être pour mieux nous surprendre lorsque les touches cruelles arrivent. La dernière planche pourrait appeler à une suite, qui clôturerait une trilogie, où le personnage principal évoluerait dans son discours... mais peut-être pas en bien. Changement de dessinateur, c'est Daniel Gete aux commandes. Et c'est toujours aussi fluide et coloré. Le one-shot contant l'origine du personnage secondaire culte Happy Kitty est illustré par son créateur visuel Paul Duffield. Aussi fun que mordant.

J'avais bien aimé le premier. Content de savoir qu'il y a une suite.

No Man's Land t.2 Véritable fourre-tout, ce deuxième tome est un ton en dessous du premier. Il permet de voir l'impact du crossover sur l'univers DC, mais la qualité des récits est inégales tant graphiquement que scénaristiquement. Mais le bilan est tout de même positif.


Conan the Barbarian 13 à 18 Wood continue à explorer la relation Conan/Bêlit et c'est toujours aussi bien fait. Il arrive à  nous montrer les sentiments de ces durs à cuirs sans les affadir et surtout les adoucir. Vraiment une façon original d'aborder l'univers du Cimmérien.

Letter 44 Vol.1 'Escape Velocity' TPB :

Il y a deux ans, au festival BD de Ste-Enimie de par chez moi, je rencontrais entre autre Alberto Jiménez Albuquerque, jeune artiste espagnol travaillant pour le marché français. Doté d'un style personnel genre cartoon déformé et tendu, j'avais particulièrement apprécié, outre son immense gentillesse, son sketchbook dans lequel figuraient des personnages de comics. C'est ainsi que je lui avais demandé de me faire un Spawn. Et s'il était intéressé pour travailler pour des éditeurs d'Outre-Atlantique. Cela trottait en effet dans sa tête.

Et je suis heureux de voir que son rêve s'est réalisé. Car le voici à la tête de la série Letter 44, écrite par le scénariste montant Charles Soule chez l'indépendant Oni Press. Le nouveau Président des Etats-Unis apprend un secret bien gardé par son prédécesseur : une navette est en train de faire chemin très loin de la Terre vers une construction non-humaine qui vient d'être découverte. La construction du récit, tout en mystères savamment dosés et rationalisations réalistes, est intelligemment partagée entre les tergiversations politiques sur Terre et la vie de l'équipage dans les étoiles. Très bien écrit et passionnant, difficile de relâcher l'attention. Génial, un vrai coup de cœur. Le dessin d'AJA peut décontenancer, le style si particulier étant aux antipodes du sérieux de l'entreprise. Mais il est finalement bien vu de proposer un graphisme inattendu. Cerise sur le gâteau, l'album s'orne de couvertures au design argenté offrant des effets de lumières kaléidoscopiques pertinentes.

Dazzler #01

Dazzler ? Oui, Dazzler, la série parue dans Titans à l'époque et que je n'ai JAMAIS lue.
Alors Dazzler, c'est presque un acte de croyance quand vous abordez le truc. Non parce qu'une mutante capable de transformer le son en lumière, qui combat les vilains avec une boule à facette disco, un costume moulant blanc, et qui s'accompagne pendant le combat avec une musique sur un radio-cassette, ben faut y croire avant d'avoir lu la moindre bulle.
Ça demande un effort, presque. Limite ça se mérite.

Le premier épisode (clairement situé après sa rencontre avec les X-Men dans Uncanny X-men) présente le personnage, et tisse quelques liens avec le Marvel Universe (en guest : Spider-man et les X-Men donc, excusez du peu). On nous présente Dazzler comme l'équivalent d'un Peter Parker question pognon : c'est l'angoisse de la fin de mois pour la chanteuse.
Et puis zou on annonce la couleur pour la suite : L'Enchanteresse (l'ennemie de Thor, la déesse, oui) se présente à un casting vocal pour une boîte de nuit, et vous savez quoi ? Elle se fait souffler la place par Dazzler, alors L'Enchanteresse elle n'est pas contente du tout, elle a pris un coup sur le casque pour le coup.
Rendez-vous dans l'épisode 2, circulez y'a rien à voir (ni à comprendre : pourquoi l'Enchanteresse tient-elle tant à ce poste ? Mystère…).
Le tout est dessiné par John Romita Jr, mais encré par Alfredo Alcala, si bien qu'on ne reconnait pas vraiment le style de l'artiste.

J'ai bien aimé, mais clairement c'est pas pour tout le monde. Je suis curieux de lire la suite, parce qu'on va voir un jour Dazzler contre Galactus, et là, ça va être simplement é-nor-me. Et puis parce que Vince Colleta va débouler en tant qu'encreur, et j'aime beaucoup ce dessinateur connu pour ses romances du Golden Age.

IM HS 5 : pris parce qu'Abnett et Lanning (parce que j'en ai soupé des adaptations BD d'adaptation de BD en film), bah c'est pas mal du tout quand même, même si cela reste très dispensables (sauf pour les fans du Groot et du Rocket du film, et là, je trouve que les scénaristes s'en sortent assez bien pour la caractérisation). C’est plutôt bien amené et assez bien dessiné, ainsi que celui sur Nebula. En revanche, le troisième épisode sur Gamora est pas terrible du tout en terme de dessin !

Infinity 6 : C'est pas trop mal, y a une bonne grosse baston. On voit bien qu'Hickman avait préparé ses munitions : Starbrand, Hyperion, et dans le style, j'ai préféré Maximus, solution beaucoup plus réaliste au regard des évènements. La suite va s'avérer intéressante (quant à l'intrigue des NA, je trouve ça trop long et ça manque de jus, faudrait que la suite accélère le mouvement)
On sent un mode "chair à canon" dans les personnages, mais bon, comme c'était un final (j'entends bien que c'était comme ça dans les autres épisodes aussi), ça m'a moins dérangé et je me suis dit qu'il y faisait référence pour faire comme une réunion de famille, en charge des autres auteurs de gérer le relationnel entre les persos.
Et puis c'est assez joli aussi !

Quant à Heist, c'est vraiment très mauvais ! (et je suis gentil)