Comics du jour, bonjour

yep j etais pressé de lire WCA qui avait tant de bonnes reviews.. et c est vraiment sympa.
Punisher, oui le dessin fait sortir d une intrigue , ma foi assez banale.
BP j ai un peu de mal, moi, ils ont tous des noms du cast originel qui fait que je sais plus trop qui est qui et c est tres decompressé..
moon Girl: depuis l arrivée de la fille adoptive du Kingpin.. le titre peine a m interesser
Amazing: oui.. sympa mais classique.
DD: on va dire qu il s en sort bien Soule avec une idée un peu pourrie mais a part sur She Hulk, il n arrive jamais a m entrainer... je trouve ces comics sans vie.

Lu Batman 6 'Tout le monde aime Ivy' (Rebirth) :

Trois petits arcs dans ce tome. L'approche du scénariste Tom King est à mon goût encore fort irritante. Ce n'est pas intéressant, hein, il y a pas mal de très bonnes idées. Mais il ne les exploite pas vraiment, le rythme est plus que décompressé, c'est très vite lu, et surtout le ton humoristique constant, qui tangue souvent du côté de la parodie, est très bizarre sur un tel titre. Bref, je n'arrive toujours pas à savoir si je trouve ça bien couillu et inspiré ou hélas très ridicule et raté. Pour la partie graphique, on retrouve des dessinateurs efficaces : Joelle Jones, Mikel Janin et Tony Daniel.

Lus:

Kill or be killed #1 à 4.

Le tandem Brubaker/Phillips a encore frappé fort avec cette maxi-série.
Jusqu'au bout, on se demande ce qu'il en est.
Délire sophistiqué du héros? Véritable intervention démoniaque? Héritage familial médical ou surnaturel?
Et puis on se demande comment cela va finir.
Mal, sans doute. Mais comment exactement?
La conclusion est une réussite totale.
D'autant que Brubaker se laisse la possibilité de revenir dessus.
C'est malin.
Et c'est beau, merci Phillips.
A lire.

I hate Fairyland #4.

Young a eu l'intelligence de ne pas faire durer sa série et d'y mettre un terme.
La question était de savoir comment.
C'est presque sobre et je dirais même touchant entre Gertrude et Larry.
Delcourt a eu l'intelligence de finir l'album avec la réédition augmentée du spécial I hate Image.
Cela donne envie que Young revienne nous faire des histoires barrées comme celle-ci avec Gertrude.
Je me doute que l'envie lui reprendra de partir dans un délire pour un épisode spécial ou une mini avec son anti-héroïne.
Tant mieux, ce format lui conviendra très bien.

Hellboy & B.P.R.D. #4.

Encore un numéro 4. Il faut croire que c'est la période.
Que s'est-il passé en 1955 pour Hellboy, maintenant bien impliqué dans les aventures du jeune Bureau de Recherche et de Défense sur le Paranormal?
Plusieurs aventures bien différentes les unes des autres.
La menace du concurrent commence à se faire sentir. Mais seul le professeur en prend la mesure au sein du Bureau.
Dommage que l'histoire principale n'ait pas été dessinée par Martinbrough ou Rivera, ça aurait eu plus de classe.
Bon…
A quand la suite?

Manifest Destiny #4.

Décidément, les tomes 4… Un complot, j'en suis sûr.
L'album en révèle davantage sur l'origine de l'expédition.
C'est très particulier, mais cette série est de toute façon très particulière.
En tout cas, si la nature semble très hostile, l'auteur est bien décidé à nous montrer que le pire est souvent l'être humain.
Surtout avec l'état d'esprit des explorateurs/conquérants états-uniens de l'époque.
Dingess nous dépeint les commandants de cette expédition sans concession.
Parfois sympathiques, souvent horribles.
J'attends de savoir quel est leur objectif véritable.

Gideon Falls #1.

Lemire s'essaye au fantastique et à l'horreur.
Cela marche bien.
Les débuts m'inquiétaient un peu.
Mais j'ai progressivement été pris dans l'histoire et je suis curieux d'en savoir un peu plus.
Maintenant, il ne faudrait pas trop faire traîner les choses.
L'intrigue est lancée. Mais le rythme n'a plus à être lent, même si cela participe à l'ambiance.

Ether #1.

Kindt est parti sur une histoire assez spéciale. Un univers assez spécial, surtout.
Cela m'a fait penser par certains aspects à Battling Boy de Pope.
Mais cela est sans doute davantage dû au fait que le dessin est de David Rubin qui a illustré les aventures d'Aurora West (liées à Battling Boy, pour ceux qui l'ignorent).
Rubin se lâche d'ailleurs bien plus dans l'univers d'Ether.
Autre différence majeure: le lien entre une réalité semblable à la nôtre et ce monde magique.
Le concept de base est sympa: un scientifique avec une tendance à jouer à Sherlock Holmes décide d'explorer un monde de magie mais avec un esprit très cartésien.
La magie, selon lui, n'existe pas: c'est simplement une autre forme de technologie dont il faut comprendre les codes.
L'idée de faire de lui une sorte d'enquêteur avec un angle de vue impossible pour les habitants d'Ether est habile.
Mais Kindt ne s'arrête pas à ça et montre très vite que les choses sont un peu plus complexes et que le héros a un passé intéressant.
ça ne plaira sans doute pas à tout le monde, mais cela mérite d'être lu car la série a un potentiel très riche.
Le vilain de service offre une confrontation très intéressante.

Black Magick #2.

Kab n'a pas aimé.
Moi, si.
Rucka nous éclaire un peu plus sur ses sorcières et sur la menace en cours.
Pas sa meilleure histoire, sans doute.
Mais c'est bien écrit et très bien mis en image par Scott.
A confirmer par la suite.

Shipwreck.

Kab n'a pas aimé.
Ben… Je le comprends.
Ellis est parti dans un délire très très particulier.
Je ne suis même pas certain d'avoir tout compris, surtout sur la fin.
On a du mal au début, mais cela commence à s'éclairer au fur et à mesure.
Puis arrive la conclusion et… tout n'est finalement pas explicité et on reste sur sa faim.
Hester nous offre de jolies planches avec son style bien à lui.
Mais non, ça ne le fait pas.

Unholy Grail.

Autre album publié par Snorgleux Comics dont je salue la volonté de nous publier des comics différents.
Cullen Bunn raconte sa version de l'histoire de Merlin et de la chute de Camelot.
Mais ça n'a pas pris pour moi.
Du tout.
Je me suis demandé si c'était parce que cela heurtait ma vision de ce mythe, mais non.
C'est juste que c'est assez mal raconté, en fait.
Je préfère d'autres histoires de cet auteur.

Céd a écrit:

Ether #1.

Kindt est parti sur une histoire assez spéciale. Un univers assez spécial, surtout.
Cela m'a fait penser par certains aspects à Battling Boy de Pope.
Mais cela est sans doute davantage dû au fait que le dessin est de David Rubin qui a illustré les aventures d'Aurora West (liées à Battling Boy, pour ceux qui l'ignorent).
Rubin se lâche d'ailleurs bien plus dans l'univers d'Ether.
Autre différence majeure: le lien entre une réalité semblable à la nôtre et ce monde magique.
Le concept de base est sympa: un scientifique avec une tendance à jouer à Sherlock Holmes décide d'explorer un monde de magie mais avec un esprit très cartésien.
La magie, selon lui, n'existe pas: c'est simplement une autre forme de technologie dont il faut comprendre les codes.
L'idée de faire de lui une sorte d'enquêteur avec un angle de vue impossible pour les habitants d'Ether est habile.
Mais Kindt ne s'arrête pas à ça et montre très vite que les choses sont un peu plus complexes et que le héros a un passé intéressant.
ça ne plaira sans doute pas à tout le monde, mais cela mérite d'être lu car la série a un potentiel très riche.
Le vilain de service offre une confrontation très intéressante.

Beaucoup aimé à sa sortie l'un de mes coups de coeur de la fin d'année.

+1 pour Ether ainsi que pour I Hate Fairyland (dont je me suis fait les 20 numéros d'une traite).

Spawn : Renaissance 5 :

Le précédent tome était intéressant. Toujours aussi soap, certes, mais on notait une évolution remarquable de la série et de ses personnages. Ce nouvel album poursuit sur la lignée. En mieux. Un nouvel auteur arrive : l'artiste complet Jason Shawn Alexander. L'approche est plus adulte. Il embrasse complètement le genre horreur : atmosphère sombre, visions cauchemardesques, gore extrême... ça fait peur et c'est malsain, du coup c'est réussi et efficace. Graphiquement, son style avance un parti pris radical, mais parfaitement raccord. C'est à la fois laid et beau, c'est marquant et bienvenu, ça a vraiment une sacrée gueule, qui convient très bien au titre. Si narrativement il y a encore et toujours des accros, ça prend en compte toutes les composantes de la série, tout en les développant. Comme quoi, du sang neuf avec du caractère, ça paye.

Predator : Intouchable - Bad Blood vs. Enforcer :

Seconde fournée de Vestron, le nouveau label de Wetta. Il s'agit là de la traduction d'une mini-série datant des années 1990 de la part de Dark Horse. Le scénario est signé Evan Dorkin. L'entrée en matière est remarquablement efficace. Son récit prend son temps et jongle avec tous les clichés du genre action. Personnages over the top et dialogues bad ass, action non-stop et violence gore. Un pur divertissement de série B, mais du bon, bien construit et généreux. On pourrait appliquer les mêmes qualificatifs au dessinateur Derek Thompson, donc le style est particulièrement détaillé et biscornu. Et ça va crescendo au fil de l'album jusque vers la fin, où par contre la confrontation attendue entre les deux créatures souffre d'une lisibilité fouillie... Il faut dire que le petit format et le papier choisi n'aident pas !

Infinity Wars 1 : nom de Zeus, y a un paquet de détails là-dedans, c'est pas sûr que je retienne tout ! On est en droite ligne avec la série précédente des gardiens de la Galaxie mais avec un paquet de rajouts qui densifie encore plus l'histoire (si cela s'avérait déjà nécessaire).
En tout cas, pour le moment, ça ne retire nullement le plaisir que je ressentais quand je lisais la série de Duggan. Espérons seulement qu'il ne se perde pas dans les détails, mais en tout cas, c'est tout bon !

ML X-Men 7 :
X-Blue : le bof bof continue, avec des associations de perso un peu alambiquées, que ce soit côté héros ou côté vilain. Et la fin de l'épisode semble tomber comme un cheveu sur la soupe, d'autant plus que panini a publié ça ailleurs, si je ne m'abuse.
X-Gold : là aussi, agglomérat d'intrigues pas très intéressantes, avec des vilains qui manquent d'intérêt ... c'est d'une pauvreté et la fin du dernier épisode n'augure rien de bien nouveau ... si bien, que même les dessins ne m'intéressent pas !

Les chroniques de Corum 1 : alors je n'ai jamais rien lu en livre de Moorcock, mais ça, c'est vraiment pas grave pour avoir besoin de bien rentrer dans cet univers et dans cette excellente BD. Déjà, Delcourt a mis ça dans un bel écrin. Et puis les dessins de ce Mignola de la fin des années 80 sont vraiment très bons, truffés de détails, et un storytelling impeccable. Baron assure aussi un scénario très lisible (jamais facile d'adapter un bouquin), assez détaillé également. J'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette BD.
J'ai hâte de lire le tome 2.

Deadpool 2 'L'instinct du tueur' :

Toujours trop court et trop vite lu à mon goût (quand on aime, on en veut toujours plus), ce nouveau numéro est un peu moins réussi que le précédent, même s'il reste bien sympa à lire. Même sommaire, avec ce coup-ci un ex-libris exclusif de Deadpool vu par Elsa Charretier.
Le 2ème épisode de la nouvelle série Deadpool est toujours écrit par Skottie Young : le rythme est tranquille et l'humour fonctionne. Le plus, c'est le dessin de Nic Klein : le style à la fois brut et joli de l'artiste complet est toujours un régal pour les mirettes. Mais on a qu'un seul épisode à chaque fois.
Deux épisodes de la série Spider-Man/Deadpool. Robbie Thompson est toujours à la barre. Les versions senior des personnages rencontrent leurs homologues actuels, face aux LMD. Et ça vaut sont pesant de cacahuètes. Le dessin est signé d'une part Scott Hepburn, qui a de la personnalité, et d'autre part Matt Horak, par contre bien plus minimaliste. Futile, mais on s'amuse.
Et enfin deux épisodes de la nouvelle série Domino... qui est peut-être le titre le plus intéressant du bouquin ! La scénariste Gail Simone est très généreuse. En plus d'éclairer le passé de la protagoniste, elle baigne le récit dans un ton débridé, avec personnages hauts en couleurs et passages d'action costauds. Et surtout, elle donne à l'intéressée une personnalité affirmée. Que du bonheur. Et le style dynamique et détaillé du dessinateur David Baldeon, associé aux couleurs chaleureuses de Jesus Aburtov, contribue à la surprenante réussite du titre. Bravo, hâte de lire la suite.

Superman rebirth tome 5: Peter Tomasi et Patrick Gleason rangent leurs joujous après un dernier tour sur Apokolips, dans le monde Bizarro et à la foire traditionnelle d'Hamilton. Quelque chose me dit qu'il y a quelques pistes laissées pour Super Sons. Tant mieux ! Quant à Sup', je vais attendre des retours sur le travail de Bendis, mais j'avoue que ce que j'en sais ne me fait absolument pas rêver.

Vs : Ou quand Ribic reprend des planches de son album non finit pour le méta-baron. C'est superbe, vraiment c'est top, par contre si quelqu'un peut me raconter l'histoire, ca serait cool, j'ai rien, mais rien compris. C'est super mal fait à ce niveau.

Grass Kings #2 : Les mystère du royaume de Grass s'épaississent au fur et à mesure que les personnages se découvrent. Matt Kindt est actuellement un de mes scénariste favoris, j'ai adoré son travail chez Valiant, son Dept H était un bijou et Grass Kings est un polar white trash comme je les kiffe. 9a envoie du gros au pays du redneck bouseux, sur fond de secret et de tueur en série. En plus les dessin à l'aquarelle de Tyler Jenkins sont magnifique.

No Justice : En cours d lecture et si les Titans Omega font céleste, ce qui me gène le plus c’est cette volonté permanente de Snyde de reprendre des éléments qui ne sont pas les siens pour faire genre c’est mieux que toi, comme un sale gosse (la repris de l’an 1 avec Zéro Year sur son Batman pour l’exemple le plus flagrant). Cette fois-ci, ces les couleurs de Geoff Johns (pas follement passionnant, déjà au départ dans Green Lantern, mais bon passe encore). On a maintenant les énergies fondamentales de la vie : entropie, sagesse, merveilleux et mystère.

Comment dire… C’est mauvais. On veut nous faire croire à des enjeux pharamineux, des géants plus puissants que jamais, un sentiments d’urgence et une menace folle, mais en fait, il se passe quoi ?

Eh bien pas grand chose. 4 équipes pour affronter 4 types de gardes et papoter tout du long. Il n’y a pas de grandes menaces puisque cette dernière n’intervient jamais, et n’envoie rien. Il s’agit juste pour la ligue d’affronter de vulgaires protecteur d’arbres. Des gardes.
C’est inutilement long surtout quand on sait les pouvoirs combinés mis en présence. C’est fouillis, ça parle, mais alors là beaucoup trop (alors certes jamais en combattant, mais ils combattent pas).

Les beaux dessin ne fonctionnent plus puisque dès le second numéro Manapul est remplacé en partie et ont voit bien que les délais ne lu permettent pas d’être à son meilleur. Il est absent du troisième (dessiné avec des pieds) et enfin il revient pour le dernier, mais n’a pas le temps de peaufiner le tout.

Si Batman Metal était trop long et mal foutu, No Justice est plus court, mais revient au même résultat. Trop long pour ce que c’est et mal foutu et quand sait que le truc est même pas suivi par le reste de l’univers on se demande bien à quoi ça sert.

kab a écrit:

No Justice : ... Si Batman Metal était trop long et mal foutu, No Justice est plus court, mais revient au même résultat. Trop long pour ce que c’est et mal foutu et quand sait que le truc est même pas suivi par le reste de l’univers on se demande bien à quoi ça sert.

C'est pas ça qui donne l'occasion à DC de réarranger ses titres Justice League ?

Super sons T1, 2 & 3: Je ne lis pas beaucoup de DC de manière générale et encore moins récemment, ce qui fait que je suis plutôt paumé sur les évolutions récentes des héros et notamment le fait que Superman soit papa, mais bon, ça importe assez peu pour Super Sons. Je connaissais Damian (dont le caractère positif et agréable transparait à chaque page) et Jon est le digne fils de son père, donc le contexte est vite vu.
Avec Super Sons, je m'attendais à un truc fun et dynamique et c'est exactement ce que j'ai eu. L'interaction Jon/Damian fonctionne à 100%, la naïveté et l'altruisme de l'un étant sans cesse contrebalancé par le réalisme et l'ego surdimensionné de l'autre. Le scénar n'a pas vocation a bouleverser l'univers DC et c'est tant mieux. On a deux ado/préado qui affrontent des méchants au grand dam des adultes et c'est fun.
L'excellente surprise, c'est le dessin de Jorge Jimenez. Je ne le connaissais pas du tout et j'en ai vraiment pris plein les yeux. On dirait le fils spirituel de Ramos et Immonen, alliant le dynamisme de l'un avec l'élégance du trait de l'autre. Les planches sont juste magnifiques. Le revers de la médaille est que les pages qui ne sont pas de lui font vraiment pâle figure en comparaison.

Je continue dans DC avec Batman Metal : Bon c'est clairement trop long, la plupart des tie-ins sont inutiles, l'intrigue n'est pas très claire (à vrai dire je ne comprends toujours pas le délire des métaux), on relit sans cesse le même motif (desespoir > lueur d'espoir > on a réussi > c'est ce que voulait le méchant > désespoir) et c'est conclus en 30 secondes à la va vite - mais - je n'ai pas forcément passé un mauvais moment. Les Dark Knights sont plutôt rigolos et le batman qui rit, même s'il est le moins puissant, a clairement la classe. Et dans l'ensemble, c'est plutôt joli.

psychocouac a écrit:

Super sons T1, 2 & 3: Je ne lis pas beaucoup de DC de manière générale et encore moins récemment, ce qui fait que je suis plutôt paumé sur les évolutions récentes des héros et notamment le fait que Superman soit papa, mais bon, ça importe assez peu pour Super Sons. Je connaissais Damian (dont le caractère positif et agréable transparait à chaque page) et Jon est le digne fils de son père, donc le contexte est vite vu.
Avec Super Sons, je m'attendais à un truc fun et dynamique et c'est exactement ce que j'ai eu. L'interaction Jon/Damian fonctionne à 100%, la naïveté et l'altruisme de l'un étant sans cesse contrebalancé par le réalisme et l'ego surdimensionné de l'autre. Le scénar n'a pas vocation a bouleverser l'univers DC et c'est tant mieux. On a deux ado/préado qui affrontent des méchants au grand dam des adultes et c'est fun.
L'excellente surprise, c'est le dessin de Jorge Jimenez. Je ne le connaissais pas du tout et j'en ai vraiment pris plein les yeux. On dirait le fils spirituel de Ramos et Immonen, alliant le dynamisme de l'un avec l'élégance du trait de l'autre. Les planches sont juste magnifiques. Le revers de la médaille est que les pages qui ne sont pas de lui font vraiment pâle figure en comparaison.

J'ai vraiment détesté le 3, trop glauque par rapport au reste. Le volume 4 met en scène les Super Pets donc ça doit être nettement plus sympa. Et si tu as aimé tout ça, lis le run de Superman Rebirth par les même scénaristes, tu ne seras pas déçu.

SgtPépère a écrit:

kab a écrit:

No Justice : ... Si Batman Metal était trop long et mal foutu, No Justice est plus court, mais revient au même résultat. Trop long pour ce que c’est et mal foutu et quand sait que le truc est même pas suivi par le reste de l’univers on se demande bien à quoi ça sert.

C'est pas ça qui donne l'occasion à DC de réarranger ses titres Justice League ?

Si.

Du coup, tu sais à quoi ça sert.

de toute facon Metal, No Justice et JL poursuivent plus ou moins la même intrigue interminable avec des concepts a rallonge, l espoir, le mal... et tout le toutim.

SgtPépère a écrit:

J'ai vraiment détesté le 3, trop glauque par rapport au reste. Le volume 4 met en scène les Super Pets donc ça doit être nettement plus sympa. Et si tu as aimé tout ça, lis le run de Superman Rebirth par les même scénaristes, tu ne seras pas déçu.

Oui, je me rappelle ton avis (tu l'avais exprimé ici) mais je n'ai pas du tout senti cette différence de ton entre les tomes 2 & 3. D'ailleurs, je pensais même que tu parlais en fait de quelque chose que je n'avais pas encore lu.
Je vais regarder du coté de Sup' Rebirth même si je pense que Jimenez est pour beaucoup dans mon appréciation de Super Sons.

J'espère que tu y trouveras ton compte.

Isola tome 1: c'est super joli mais c'est aussi super lent. Ca sent le début du Seigneur des Anneaux sauce "cric crac j'ai marché sur une brindille alors je sursaute". Donc les personnages sont bien installés, on devine à peu près de quoi il retourne et c'est toujours super joli (même si je préfère quand Kerschl dessine des animaux aux humains). Bon, quand est-ce qu'on rentre dans le vif du sujet ?

Immortal Hulk #5 Encore un excellent numéro qui laisse augurer de très bonnes choses pour la suite. J’aime décidément beaucoup la manière d’aborder le personnage choisit par Ewing.

Cosmic Ghost Rider #3 Il faut du talent pour raconter du grand n’importe quoi et Cates en a énormément. Impossible de savoir ce qu’on va découvrir en tournant la page. Je suis fan.

Captain America #1 à #3 Rogers doit faire face après l’après Hydra. C’est pas désagréable, mais j’ai l’impression que Coates aime prendre son temps pour raconter ses histoires.

SgtPépère a écrit:

Du coup, tu sais à quoi ça sert.

Oui à déconnecté les séries JL du reste de l'univers.

Avec Bendis qui prend Sup' en charge, ça n'est peut-être pas si idiot ...

Cosmic Ghost Rider #3: Comme le dit Gendar, c'est du grand n'importe quoi mais c'est très fun.

Abe Sapien t.6 Un nouveau tome très réussi mais qui ne respire décidément pas la joie de vivre. Ok c’est l’enfer sur terre, donc déjà c'est pas la fête. Mais la destinée de Abe semble bien solitaire et funeste.