Comics du jour, bonjour

fred le mallrat a écrit:

Oui et il n y a pas que des inedits mais rien que les warlock de starlin a un format comics en couleur.. ou les deathlok.. c est pas mal

Oui, j'ai vu ça.

fred le mallrat a écrit:

mais en comics inedit tu as Howard The duck des 70's,

Crois que j'ai bien VU ça aussi!

fred le mallrat a écrit:

GLA de Slott, du master of Kung Fu sympathique, de defenders par Giffen/dematteis, du Cap Britain & MI13, la cape et l epee et Union Jack ou Quasar arrivent..

Ouaip.
Des choses bien sympathiques dans tout ce que tu cites là.

Medieval Spawn and Witchblade TPB :

Plus de 20 ans après la mini-série de Garth Ennis & Brandon Peterson, gros plaisir coupable violent et beau, Brian Haberlin en propose une autre. Si quelque part l'ambiance est un peu la même, elle évacue l'humour pour se rapprocher de l'obscurité du très bon spin-off Spawn: the Dark Ages. Le scénario se déroule, ça se laisse lire, mais il n'y a absolument pas de surprises. D'autant que les deux personnages nous sont présentés séparément en prenant le temps, pour les réunir précipitamment dans le dernier épisode. Pas mauvais en soi, mais décevant. Le graphisme informatique peut être rebutant, mais l'on s'y fait. En résumé : c'est bien fait, avec soin, mais le récit, malgré quelques bonnes idées, n'est vraiment pas marquant.

Thanos #13-17 J'aime beaucoup ce récit de King Thanos (qui me fait penser au king Conan de ma jeunesse). Certains éléments paraissent un peu tordus ou tirés par les cheveux mais qu'importe, la lecture des évènements qui ont débouché sur cette situation est très agréable.

Ah oui, la saga concoctée par Cates est assez sympa !

Relecture des mini séries de la justice league bwahaha le mois dernier.
C'est toujours aussi plaisant à lire.

En cours de lecture de la maxi série birthright par winnick sur la justice league international.
Plus grave dans le ton évidemment mais ça se lit bien malgré tout pour l'instant.

Eternity : Matt Kindt revient sur les personnages créé pour l'univers Valiant. Après avoir travaillé sur les trois astronautes revenus avec des pouvoirs divin (cf Divinité 1 à 3), le scénariste travaille maintenant sur la suite. Abram et Myshka ont eu un enfant, qui est enlevé par le futur supérieur pour ramener l'équilibre dans leur monde, mais le futur antérieur ne l'entend pas ainsi voyant maintenant une possibilité d'émancipation. Car les deux futurs sont normalement controlé par le témoin qui semble être réincarné dans le fils de Divnity.

Si le pitch est des plus basique (mais vraiment basique), Kindt en profite pour créer tout un univers de fiction des plus dingue, avec des concepts bien fous et des plus sympas. Visuellement Renat guèdes ne ressemble en rien à ce qu'il a pu dessiner avant chez DC et Trevor Hairsine qui fait tout sauf un épisode est encore plus dingue qu'avant. Je pense que bosser chez Valliant lui fait le plus grand bien et ses planches sont de toutes beautés (surtout l'une des planches de fin qui intègre la déconstruction d'une planche en partant de la couleur vers le crayonné, c'est juste ultime).

Matt Kindt s'en sort donc encore une fois avec brio, il faut dire que l'ancien éditeur reconvertit scénariste enchaine les titres de haut niveau. Eternity continue dans ce niveau avec une majorité de résolution par la parole et non par la violence, même si parfois elle est exigible, de nombreux concept de SF bien sympa et de sublime dessin.

kab a écrit:

Eternity :Visuellement Renato guèdes ne ressemble en rien à ce qu'il a pu dessiner avant chez DC et Trevor Hairsine qui fait tout sauf un épisode est encore plus dingue qu'avant. Je pense que bosser chez Valliant lui fait le plus grand bien et ses planches sont de toutes beautés (surtout l'une des planches de fin qui intègre la déconstruction d'une planche en partant de la couleur vers le crayonné, c'est juste ultime).

Niveau trait ou composition, je ne suis pas si sûr. Si tu regardes bien ce qu'il a dessiné sur Adventures of Superman, il y a déjà un savoir-faire énorme. L'évolution de l'artiste est peut-être probablement dû à la pause qu'il s'est donné en matière de comics pour travailler sur la peinture et des grandes toiles qui sont tout aussi superbe. Valiant a dû lui proposer de bosser pour eux en voyant ce qu'il pouvait faire. Et là, pour le voir réaliser tout un run (ou presque), je me demande combien de temps à l'avance la série était prévue.

The New Teen Titans TPB7: excellent.
Je n'avais jamais lu l'arc The Judas Contact mais connaissait sa très bonne réputation. Elle n'est pas usurpée, Wolfman et Perez étant au sommet.
En 4 numéros (dont un avec 10 pages de plus), on a la conclusion de plusieurs fils scénaristiques et l'introduction d'un nouveau membre. Robin devient Nightwing, le traître frappe avec l'aide du Terminator* (dont on apprend l'histoire) et du HIVE, et Jericho rejoint les Titans. Tout ça dans un déluge d'action et de drama où les sentiments des héros en prennent plein la tronche, mais ça c'est une habitude.
Le numéro suivant utilise sa couverture comme sa première planche et, si je connaissais le principe, ça doit être la première fois que je le vois en application. Le numéro sert d'épilogue et de prologue.
Les 2 épisodes suivants en termine avec HIVE (présent dès le #2 !) avec l'aide d'Aqualad et Aquagirl. Il a les mêmes qualités que d'habitude mais après plus de 40 numéros, les motivations du leader sont un peu décevantes. Toutefois, ça reste très satisfaisant.
Le dernier numéro est plus standard (et dessiné par Steve Rude) avec une histoire lambda de super-êtres créés dont les créateurs veulent la mort. Les deux épilogues ouvrent sur les histoires suivantes et ce sont de bons teasers.
C'est une série qui vieilli plutôt bien même si #balancetonporc pourrait souvent être utilisé pour Changelin qui est hyper lourd et que les atermoiements de Raven n'ont pas évolués depuis le #1 là où les autres personnages connaissent une progression.

*ancien nom de Deathstroke

Cyber Force: Awakening Vol.1 TPB :

Après le (trop) ambitieux Rebirth, qui n'aura pas fait long feu et aura été illustré par des dessins vraiment pas marquants, Matt Hawkins remodèle un nouvelle fois la création de Marc Silvestri. Ici, le projet paraît plus réfléchi sur le long terme. Plus simple mais plus solide. De nouveau épaulé par Bryan Edward Hill au scénario, l'auteur se veut plus décompressé, mais propose aussi un rapport à la science-fiction moins hermétique, et du coup plus intéressant. S'il lorgne beaucoup sur les concepts de Terminator, il n'en apporte pas moins une modernisation du titre tout à fait pertinente. Cela n'a plus grand chose avoir avec les super-héros cybernétiques de l'époque, mais justement cette refonte se calque sur des sujets d'actualité. Bien vu. Et vite lu : ce n'est pour l'instant que le commencement. La partie graphique est intégralement gérée par Atilio Rojo, artiste complet qui, bien qu'il utilise l'outil informatique, nous offre un travail plus que correct, remarquablement élégant. Notons que l'album contient en bonus pas moins qu'un épisode : le début de Romulus, création de Hill avec le dessinateur Nelson Blake II. Un dessin minimaliste, mais un script qui démarre de façon particulièrement efficace.

Champions #17 et #18 J'aime bien les histoires de robots tueurs donc, j'ai bien apprécié ces deux épisodes car on va assez vite pour résoudre cette intrigue. J'aime aussi beaucoup la manière dont Waid écrit le personnage de Young Cyclops, très attachant.

Rawhide Kid a écrit:

The New Teen Titans TPB7: excellent.
(…)

Vivement qu'Urban publie des intégrales/archives/dénomination-qu'ils-veulent avec les "Jeunes Titans" de Wolfman/Pérez.
A l'occasion de la série TV, par exemple…

SgtPépère a écrit:

kab a écrit:

Eternity :Visuellement Renato guèdes ne ressemble en rien à ce qu'il a pu dessiner avant chez DC et Trevor Hairsine qui fait tout sauf un épisode est encore plus dingue qu'avant. Je pense que bosser chez Valliant lui fait le plus grand bien et ses planches sont de toutes beautés (surtout l'une des planches de fin qui intègre la déconstruction d'une planche en partant de la couleur vers le crayonné, c'est juste ultime).

Niveau trait ou composition, je ne suis pas si sûr. Si tu regardes bien ce qu'il a dessiné sur Adventures of Superman, il y a déjà un savoir-faire énorme. L'évolution de l'artiste est peut-être probablement dû à la pause qu'il s'est donné en matière de comics pour travailler sur la peinture et des grandes toiles qui sont tout aussi superbe. Valiant a dû lui proposer de bosser pour eux en voyant ce qu'il pouvait faire. Et là, pour le voir réaliser tout un run (ou presque), je me demande combien de temps à l'avance la série était prévue.

Je parlais effectivement en terme de rendu, il faudrait que je regarde de nouveau ses Sup.

ML X-Men Extra 2 :
Astonishing : bon, je n'ai définitivement pas aimé ce premier arc, que j'ai trouvé long, et pas très intéressant ! Alors, ça fait revenir un perso dans un perso qui était pourtant très intéressant à exploiter (mais bon, ça c'est un avis perso), mais par un biais bien bancal et peu explicite quand même. Un démarrage pas terrible et le nouvel arc démarre de manière pas forcément meilleure, mais vais pas vendre la peau du Soule ...
Ah, à noter que les dessins de Del Mundo étaient pas mal du tout, avec de bonnes idées graphiques !
Weapon X: l'arc se finit comme fallait s'y attendre ! Et le suivant démarre, mais on se demande pourquoi cette équipe reste une équipe ... bon, on va voir !
Grey : nouvel épisode pas terrible, sans intérêt, et le pire dans tout ça, c'est que pour lire la fin, va falloir acheter un album ... je sens que je en vais pas être du voyage ....

Terminator : Tempest :

Après la mini-série de Ron Fortier & Alex Ross, Wetta publie dans un grand album luxueux la première mini-série de Dark Horse, suivie d'un one-shot. Tempest fait directement suite au premier film. Le scénario de John Arcudi manie habilement tous les composants de la franchise, de façon exhaustive et efficace, sans oublier de proposer des scènes d'action brutales dans le style de l'époque. Le dessin de Chris Warner est classique pour l'époque, mais son style demeure solide et puissant. Malgré une fin ouverte, une colorisation d'époque qui a bien sûr vieilli, et une reproduction légèrement floue, le titre étonne par sa maîtrise : aussi spectaculaire que divertissant. Le one-shot est écrit par James Robinson, avec une narration moins bourrine, plus indé. Si ce récit d'une cinquantaine de pages est quelque part un peu tiré par les cheveux, ça reste du bon. C'est Matt Wagner qui illustre tout ça à la peinture : son art anguleux détonne, ça paraît bizarre, mais le parti pris se pose là. En résumé, un album à conseiller aux nostalgiques et aux fans du film de James Cameron. Tous les codes que l'on aime s'y trouvent, un complément pertinent pas désagréable.

Marvel Legacy : Deadpool 4 'C'est peut-être la fin d'une belle amitié' :

Les deux épisodes de the Despicable Deadpool écrits par Gerry Duggan sont extrêmement décompressés, et laissent donc une sensation d'inutile. Matteo Lolli s'éclate et fourni un joli travail, tandis que Scott Koblish est en roue libre et va à l'essentiel. Un seul épisode de la série Spider-Man/Deadpool dans le numéro de ce mois, mais pas des moindres : on retrouve nos zozos version retraités, après l'épisode que j'avais adoré. Robbie Thompson & Scott Hepburn rattachent les wagons, en gardant cette balance entre humour délirant et émotion à fleur de peau. On a droit ici à deux épisodes de Cable, soit la fin de l'arc en cours par Ed Brisson & Jon Malin. De la baston bourrine made in 90's, dont on se fout un peu car sans véritable enjeu. Mais cette fois-ci ça n'a pas été trop désagréable, ça se laisse lire, et le style du dessin passe mieux. Comme quoi.

God Country Un bon petit one-shot. Rien d'indispensable, mais de bonnes idées, des planches spectaculaires et une jolie histoire de famille.

Saga #49 à #54 On peut dire qu'avant de partie en pause à durée indéterminée, les auteurs n'ont pas lésiné sur les émotions fortes. L'attente va être décidément très longue maintenant que j'ai vraiment repris goût à la série.

Deadly Class #31 #35 Un véritable déchaînement de violence, ça charcle à tous les étages et c'est brillament mis en scène. Et pendant ce massacre, Remender n'oublie pas de continuer à faire évoluer ses personnages. J'applaudis!

Céd a écrit:

Rawhide Kid a écrit:

The New Teen Titans TPB7: excellent.
(…)

Vivement qu'Urban publie des intégrales/archives/dénomination-qu'ils-veulent avec les "Jeunes Titans" de Wolfman/Pérez.
A l'occasion de la série TV, par exemple…

J'avais commencé la série en VF mais vu le peu d'entrain de Panini à l'époque de poursuivre, j'ai opté pour la VO.
La série télé étant, pour le premier épisode du moins, l'antithèse du comic-book, ça risque de faire bizarre à certains.

Flex Mentallo, Man of Muscle Mystery: Morrison, Quitely, une idée du bonheur.
Enfin, du bonheur... Arrivé au 3/4 de la série, c'était plutôt la déprime qui primait. Monde sombre, désespéré, sans issue avec des personnages perdus, errant dans un univers hostile. Puis arrive la dernier quart où l'espoir revient de bien belle manière.
Morrison fait le point sur ce qu'a engendré Watchmen et y intègre ses interrogations/thèmes comme la barrière entre fiction et réalité, ce que veut dire créer et particulièrement créer des comics de super-héros. Et c'est formidable.
Quitely propose des planches fouillées et des designs impeccables. A par prendre un dictionnaire de superlatifs, il n'y a pas grand chose à en dire.

Rawhide Kid a écrit:

Céd a écrit:

Rawhide Kid a écrit:

The New Teen Titans TPB7: excellent.
(…)

Vivement qu'Urban publie des intégrales/archives/dénomination-qu'ils-veulent avec les "Jeunes Titans" de Wolfman/Pérez.
A l'occasion de la série TV, par exemple…

J'avais commencé la série en VF mais vu le peu d'entrain de Panini à l'époque de poursuivre, j'ai opté pour la VO.
La série télé étant, pour le premier épisode du moins, l'antithèse du comic-book, ça risque de faire bizarre à certains.

Comme ça, ils pourront voir ce que donne une véritable bonne histoire des Titans et ce que sont vraiment les personnages originaux.

Shatterstar #1: c'était chiant.
Le narrateur en voix-off durant tout le long est d'une platitude sans nom. Et comme c'est la majorité de ce qu'on lit, la somnolence est difficile à éviter.
Le numéro fait son job de présentation et de twist qui ouvre sur la suite mais quel ennui ! Le côté comédie est mou, l'action est trop brève pour avoir un quelconque impact et Shatterstar qui est content d'être un concierge sans histoire n'est pas un personnage intéressant. Je l'avais laissé avec X-Factor où il était fun, ici on le retrouve en train de ramasser des crottes de chien et d'aller voir des pièces de théâtre. Naturellement, il n'est plus avec Rictor et pour une raison qui contredit l'apathie présente: pas assez de conflits dans la relation.
Le dessin est correct mais ne fait rien pour relever ce numéro.

Spider-Geddon #0 :

Pris pour Clayton Crain. J'adore son style, et il convient parfaitement à Spider-Man. Ici, le personnage du dernier jeu vidéo est rejoint par le Superior Spider-Man qui tente de l'enrôler alors qu'il doit arrêter Tarentula. Juste un prétexte à une joute verbale marrante. Pas indispensable, mais c'est du pur fun. Suit un petit récit également sur le ton de l'humour. Du divertissement geek sans prise de tête, on nous refait Spider-Verse.

True Believers: Marvel Knights - Daredevil #1 :

Réédition de Daredevil #26, soit l'arrivée de Brian Michael Bendis & Alex Maleev sur la série. Si j'ai du mal avec le graphisme, je dois avouer que l'approche de Bendis est solide. Il ose des choses, on dirait du Tarantino par moments. C'est très intriguant et efficace, donc ça marche.

True Believers: Marvel Knights - Jessica Jones: Alias #1 :

Premier épisode d'Alias de Bendis & Michael Gaydos. Narration tranquille et protagoniste qui n'a vraiment aucune estime de soi. J'accroche au dessin de Gaydos, donc ça passe. Y a de l'idée, c'est bien vu. Mais figurent aussi déjà les tics énervants de Bendis.

True Believers: Marvel Knights - Black Widow #1 :

Là aussi, début de la série d'époque sous label Marvel Knights. Le scénario de Devin Grayson est bien raconté, même s'il ne prend pas réellement de risques. En tout cas, l'auteur respecte le personnage et son univers. La partie graphique est remarquablement de toute beauté, entre le dessin aux petits oignons de J.G. Jones et la colorisation magnifique de Dave Kemp. Une bien jolie prestation, malgré la narration compliquée de l'artiste.

Walking Dead 30 'Nouvel Ordre Mondial !' :

Robert Kirkman se repose sur ses lauriers avec ce tome. Il ne sort pas des codes de la série. Pas réellement de rebondissements mémorables qui font écarquiller les yeux. Et on est encore et toujours dans ces histoires de communautés. Mais s'il n'y a rien de neuf, ce n'est pas pour autant désagréable. La lecture est toujours aussi fluide et accrocheuse, grâce aux dialogues naturels et aux personnages auxquels on s'est attachés. C'est bien fait et c'est encore impossible de relâcher le bouquin avant d'être arrivé à la fin. Le dessin de Charlie Adlard a toute sa place dans la qualité continue du titre. Un style aussi clair que plaisant, d'une belle efficacité, qui transmet parfaitement l'émotion. Rien de nouveau, donc, mais ça reste du très bon... Je ne m'en lasse pas !

Hit Girl 1 : 'En Colombie' :

Mark Millar relance son petit personnage frapadingue et culte dans une nouvelle série chez Image. Pour la faire évoluer ? Point du tout ! Ultra décevant, son récit qui tire à la ligne n'est qu'un divertissement décérébré enquillant les scènes de violences gores et défoulantes. Un carnage fun sans cervelle. Intérêt : zéro. Complètement dispensable. Ricardo Lopez Ortiz a un dessin plutôt bizarre. Pas vraiment abouti, mais à l'énergie dynamique et frappante. Tout cela n'en fait pas un immanquable. Court et vite lu. Un déchaînement d'action, mais qui reste dans les clichés du genre, sans idées. Enervé mais creux. Il y aura des fans, mais j'espère que la nouvelle série Kick-Ass proposera plus de contenu.

Duke_Oliver a écrit:

Hit Girl 1 : 'En Colombie' :
(…)
Ultra décevant, son récit qui tire à la ligne n'est qu'un divertissement décérébré enquillant les scènes de violences gores et défoulantes. Un carnage fun sans cervelle. Intérêt : zéro. Complètement dispensable. Ricardo Lopez Ortiz a un dessin plutôt bizarre. Pas vraiment abouti, mais à l'énergie dynamique et frappante. Tout cela n'en fait pas un immanquable. Court et vite lu.
(…)

Merci de me conforter dans mon choix d'avoir fait l'impasse.

ML Avengers 4 :
Avengers : je comprends ceux qui ont trouvé ça répétitif. C'est le problème de ce genre d'intrigue qui dure sur un tas d'épisodes ... cela dit, ça bouge pas mal et y a des péripéties. En revanche, pour le moment, l'intérêt de l'intégration rétroactive de Voyager est quand même limité à un Uber qui a besoin de faire des pauses (ça, c'est répétitif !). Les dessins sont pas mal du tout (en même temps, Larraz), même si les arrière-plans sont par moment bien pauvres et je trouve que la colorisation est dans des tons trop sombres (pas dans le sens "sombre" d'un Dark Knight par exemple).
Ah, et le découpage d'épisode façon Panini ....
Champions : les Champions recrutent ... et y a des moments bien sympa. La partie moins fun est réservé à la famille Vision, et c'est plutôt bien fait, avec un questionnement intéressant et une intrigue qui semble démarrer (mais les graines ont été peut être été posées depuis quelques temps)
Iron Man : Bendis utilise ses persos (même ceux dont j'avais déjà oublié l'existence), pour ne pas faire avancer l'intrigue d'un chouia ! ça commence à faire très long !

ML X-Men 4 :
X-Gold : cette série est catastrophiquement dialoguée, de mois en mois ! Et l'intrigue, au final, on s'en fout (et puis la planète ne fait pas trop "Zone négative"), surtout tout arrive (ou pas) quand ça arrange l'auteur ! Et les dessins sont pas terribles, en plus !
X-Blue : ah, c'était long, mais y a enfin une bonne idée, et en plus, elle est tirée du run de Bendis ! Ce qui est dommage, c'est que Marvel n'en ait pas profité pour ranger tous ces jouets dont on a que faire ... ça aurait été le point culminant du travail de Bunn.
OML : c'est d'un convenu, d'un banal et c’est limite impersonnel ! Le gars, il ramène l'amour de Logan et il n'en profite pas pour en faire quelque chose ! Allez, Brisson la glace, merde !

ML Spider-Man 4 :
Amazing / Venom : une saga qui fleure bon les années 90. Slott n'avait pas encore joué avec le symbiote, il me semble, et là, il a démarré par une petite guerre de gang pour finir sur un truc plus de super-héros. C'est plus du divertissement qu'autre chose, parce quàpart la gestion des costards côté Venom and Co, y a pas grand chose de plus (à si, quand même : Slott continue le rangement de jouet, avec la Chatte Noire).
Le dernier épisode contient duex petites histoires, notamment une qui parle de comment Flash a perdu le symbiote ... mais si ce n'est pas exploité par la suite, j'avoue ne pas comprendre l'intérêt d'une telle explication.
Scarlet : en fait, faut un peu connaître l'histoire des Slingers (merci le net) pour réellement comprendre les animosités qu'on voit ici. Après, David ramène un de ses vieux perso, mais ça fait quand même très tâche ici (et puis ça n'a aucune intérêt : autant avoir construit un robot, c'était pareil). Y a une scène qui est rigolote (ou intelligemment faite), sinon, que dalle !

Kick-Ass : The New Girl tome 1 :

J'ai été déçu par la trop grande légèreté du nouveau Hit-Girl... Alors, qu'en est-il du nouveau Kick-Ass ? Nous avons là un nouveau personnage. Par contre, il n'y a aucune explication sur le pourquoi de l'utilisation du même costume et du même nom. Mise à part ça, je dois dire que j'ai bien apprécié ma lecture. S'il y a beaucoup moins d'humour et de provocation, le délire fait place à un récit certes pas ultra original, mais en tous cas bien solide. Le nouveau contexte fait que les péripéties se suivent efficacement. Millar ne se fout pas de notre gueule, et le style de Romita Jr n'est pas en rien dans la bonne impression de l'ensemble. Pas inoubliable, mais sincèrement bien réalisé, vraiment sympa. Un titre à ne pas bouder.