Comics du jour, bonjour

psychocouac a écrit:

Mais pour en revenir au problème de départ, est ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi dans un monde où coexistent des gens capables de manipuler les éléments (notamment Crystal et Ororo qu'on voit à l'oeuvre ici) et des scientifiques capables d'ouvrir des portails dimensionnels ou de changer la taille des choses, personne n'est capable de foutre un pu*@%n  de nuage dans une boite, dans une salle ou n'importe où où il ne fera plus de mal.

Tu touches à mon humble avis ici le nerf de ce qu'aurais du être ce truc.

Les Inhumains pour être un peuple en déperdition et mourrant par la pollution humaine (pour reprendre aussi ce qui a été fait précédemment genre par Jenkins) est décidé à suivre le chemin lancé par Flèche noire (Merci Jim Krueger et Alex Ross pour l'idée dans Earth X). Les mutants eux sont touché par le nuage et décide d'exilé une partie (les plus jeunes élèves et mutants dans les limbes), le reste des X-Men cherchant une solution.
le fauve dégouté de ce que sont devenus certains mutants et de lui même décide d'aller du côté des inhumains voir s'il y était.

A partir de là, les inhumains et les mutants s'affrontent pour le nuage et la survie de leur race. Avec d'un coté les inhumains persistant dans leur volonté d'avoir de plus en plus de membres et de montré aux mutants comment eux ils sont pas craint et hais et que leur Utopia toute pourrie c'est du caca comparé à leur Nevo New-York avec une monarchie et tout le tatouin. Les Mutants eux lutte pour leur survie et comment dire ils ont l'habitude.
A côté de ça tu rajoutes un twist un peu sympa et social avec un retournement d'opinion publique. Les X-Men habitués a être crain et hais, mais voulant toujours s'incruster chez les sapiens, la joue sauveteur des humains contre le vilains nuage, le pékin lambda le voit encore plus comme un sauveur et surtout il évite de transformer en monstre n'importe qui.
L'humain de base préférant alors un maux connus qu'un autre pas trop et en plus qui se la joue monarchie et en a rien à battre des humains. Ben les mutants c'est cool.

Les inhumains apprendrait alors le calvaire des mutants (même s'ils connaissent un peu) et là les deux finiraient par trouver une solution ensemble.

Enfin je ferais un truc du genre. Avec peu de tapage dessus, mais plutôt des équipes cherchant à virer le nuage d'autres du coup à empêcher ça, mais pas de gros combats à la fête à neuneu.

Spawn : Renaissance 3 :

Suite de la série, orchestré comme le tome précédent par Todd McFarlane & Erik Larsen. Al Simmons revient sur Terre, humain et avec un échantillon de costume. Il va se battre contre des monstres... qu'on ne sait pas pourquoi ils sont là ! Aïe aïe aïe, ça ne colle pas entre les deux auteurs. Erik Larsen savagedragonise la série Spawn, mais cette approche ne colle pas. Todd McFarlane n'aide pas, c'est incompréhensible. Mal pensé, mal écrit, partie graphique à la qualité variable suivant les cases, non rien ne va là-dedans. C'est du grand n'importe quoi à tout les niveaux, et grandement pénible à lire. Peut-être l'un des plus mauvais albums depuis longtemps ! J'espère que la barre va se redresser, parce que là...

Superman Saga 24 : soit les 4 premiers épisodes d'Adventures of Superman. C'est un titre anthologiques, avec des petits épisodes auto-contenus. Donc, globalement, c'est plutôt bon, avec des dessins super-sympa. Évidemment, y a un exception à tout ce que je viens de dire, c'est l'épisode 3 par Kindt et Segovia, que je en trouve pas vraiment formidable ! Mais pour le reste, c'est vraiment très sympa à lire, punchy, varié et joli ! (et c'est le non-fan de Superman qui n'est pas en mode Bizarro qui vous parle)

Empress :

Empress ou l'histoire d'une femme voulant échapper à son mari (un tyran galactique) avec ses enfants et avec l'aide de son garde du corps.

Voilà ça c'est l'histoire rien de plus rien de moins, pas ou peu de développement de personnage, un rapide twist de fin sur un personnage pour donner un peu de consistance, mais ça ne va pas plus loin.
Encore une fois Millar fait le minimum syndicale pour sa nouvelle série. Une intrigue plutôt bateau, quelques facilités dans le scénario pour avec des persos über balaises pour se sortir de toutes situation, et quelques erreurs de jugement sur ses personnages.

Spoiler:

A côté de ça il y a le très grand, l'immense Stuart Immonen et là ça envoie du gros. Stuart c'est le mec capable de tout dessiner, d'avoir plein de styles différents, et encore une fois il le prouve, on est loin de sa peinture sur Superman ou de ses débuts, mais encore aussi très éloigné de certains travaux personnels ou encore de son style cartoony sur NextWave. Il enchaine avec talents les planches rendant une course poursuite interdimensionnel à coupé le souffle, on ne s'ennuie pas une seconde, un vrai page turner, grâce à ses planches d'un dynamisme incroyable.

Au final comme toujours chez Millar on a deux choses. Un scénar plutôt bidon et léger, et un dessinateur hors pair, cet écueil ne fait pas exception, mais se range tout de même dans la partie haute de ses oeuvres récentes.

Saga T.7 Je sais pas si c'est moi qui me lasse ou si BKV a perdu son mojo, mais ça fait deux tomes où je m'ennuie un peu. Certaines mécaniques commencent à me fatiguer comme la voix-off de la gamine qui annonce systématiquement que "oui on est heureux mais attention, ça va mal finir." Et même si je suis pourtant clients des storylines multiples, je trouve que la multiplication des personnages donnent l'impression qu'on piétine un peu. Même si il se passe encore beaucoup de choses dans ce tome, l'histoire générale n'avance pas vraiment. Et surtout, je ne ressens plus vraiment d'émotion pour les personnages. Je vais encore laisser sa chance au tome suivant, mais il est possible que je quitte cette petite famille avant leur destination finale.

Lu Batman Rebirth et Justice League Rebirth. J'ai passé un bon moment.

Concernant Batman, c'est Detective Comics qui m'a le plus convaincu. La cour des hiboux me sort un peu beaucoup par les yeux et j'ai une bonne idée sur la nature du couple de super-gugusses qui sont à Gotham.

Concernant la JLA, j'ai beaucoup aimé Action Comics avec la déception que l'intrigue s'arrête là. Je voulais connaître la suite: plutôt bon signe. L'idée générale pour cet arc du Flash pourrait donner quelque chose de sympa: à voir.

Pour le reste, comme il y a beaucoup de numéros Rebirth, je les avais déjà lus dans le bouquin librairie.

Au final, je vais continuer à prendre ces deux revues.

Green Lantern Saga 34 : dernier magazine des Lantern. Je crois que ça va me manquer quand même ! Bon, l'enchaînement des péripéties de Godhead semble un peu mécanique (même fonctionnement que les précédentes sagas, trop de sagas qui s'enchaînent, j'ai même senti venir le coup de Black Hand un bon mois avant), les dialogues des Néo-Dieux me semblent par moment un peu copiés sur le lascar du bar du coin (même si la référence avec les crayons de couleur m'a bien fait rire), la caractérisation des Néo-Dieux me surprend (je ne voyais pas la version de Kirby comme ça, mais on est ici dans la version New52), les Red Lantern ont complètement perdu leur raison d'être des lanternes (et Guy n'a plus grand chose du Rouge), je n'ai pas tout compris dans les dialogues à la malédiction du Lanterne Blanc, y a quelques bricoles un peu facile avec les pouvoirs des Lanternes (surtout la blanche), mais bon, j'aimais bien ma dose de Green Lantern et consorts, surtout dans ce format qui ferait même presque pâlir le Marvel Universe de la belle époque Cosmique ! Et puis vu la fin, je sens qu'il y avait encore des baffes à donner à ses branleurs de Green Lantern !

Lu Flashpoint :

Mieux vaut tard que jamais. Bonne idée de la part d'Urban que de publier en préambule un épisode de Flash centré sur l'histoire Néga-Flash.
Je croyais qu'il s'agissait encore d'une de ces sagas de DC avec mouts personnages venant de terres parallèles et ses événements foisonnants. En fait, ce n'est pas ça. Le scénario de Geoff Johns est plus simple que cela, et finalement c'est tant mieux. Flash atterrit certes sur une terre parallèle, mais ça s'arrête là. Focalisée sur le personnage et sa découverte de ce monde alternatif, l'histoire se révèle ludique. Court et sympa, avec au dessin un Andy Kubert en forme, de plus joliment encré et colorisé. On aurait aimé en voir plus parce que c'est plein de promesses, mais en l'état c'est déjà bien.

Action Man TPB1: de "l'espionnage" rigolo mais déçu que sa tête ne tourne pas pour changer d'apparence mais je dois me tromper de jouet.
Le dessin n'est pas hideux mais pas terrible non plus.
Le scénar commence avec un twist bien vu, le reste étant un peu plus convenu mais très agréable à suivre.
Série sympa pour 4€. Plus chère, elle ne vaudrait pas nécessairement le coût.

Duke_Oliver a écrit:

Lu Flashpoint :

Mieux vaut tard que jamais. Bonne idée de la part d'Urban que de publier en préambule un épisode de Flash centré sur l'histoire Néga-Flash.
Je croyais qu'il s'agissait encore d'une de ces sagas de DC avec mouts personnages venant de terres parallèles et ses événements foisonnants. En fait, ce n'est pas ça. Le scénario de Geoff Johns est plus simple que cela, et finalement c'est tant mieux. Flash atterrit certes sur une terre parallèle, mais ça s'arrête là. Focalisée sur le personnage et sa découverte de ce monde alternatif, l'histoire se révèle ludique. Court et sympa, avec au dessin un Andy Kubert en forme, de plus joliment encré et colorisé. On aurait aimé en voir plus parce que c'est plein de promesses, mais en l'état c'est déjà bien.

Je ne connais pas la publication en France mais l'événement s'accompagne de différentes mini-séries qui explorent cet univers parallèle à la What If?.

oui il y a des minis publiées en france dans le mensuel .. une est reprise dans la future anthologie sur Batman par Risso.

Bon par contre... je suis pas d accord avec vous.. Flash n atterit pas sur une terre parallèle et c est pas du What If.
Comme Age Of Apocalypse, House Of M.. on est sur la terre principale dont l histoire a été réécrite.
Cela devient par la suite une terre parallele puisque l histoire est "réparée" (et dans le cas présent pas vraiment) et que cette réalité subsiste mais..

kab a écrit:

psychocouac a écrit:

Mais pour en revenir au problème de départ, est ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi dans un monde où coexistent des gens capables de manipuler les éléments (notamment Crystal et Ororo qu'on voit à l'oeuvre ici) et des scientifiques capables d'ouvrir des portails dimensionnels ou de changer la taille des choses, personne n'est capable de foutre un pu*@%n  de nuage dans une boite, dans une salle ou n'importe où où il ne fera plus de mal.

Tu touches à mon humble avis ici le nerf de ce qu'aurais du être ce truc.

Les Inhumains pour être un peuple en déperdition et mourrant par la pollution humaine (pour reprendre aussi ce qui a été fait précédemment genre par Jenkins) est décidé à suivre le chemin lancé par Flèche noire (Merci Jim Krueger et Alex Ross pour l'idée dans Earth X). Les mutants eux sont touché par le nuage et décide d'exilé une partie (les plus jeunes élèves et mutants dans les limbes), le reste des X-Men cherchant une solution.
le fauve dégouté de ce que sont devenus certains mutants et de lui même décide d'aller du côté des inhumains voir s'il y était.

A partir de là, les inhumains et les mutants s'affrontent pour le nuage et la survie de leur race. Avec d'un coté les inhumains persistant dans leur volonté d'avoir de plus en plus de membres et de montré aux mutants comment eux ils sont pas craint et hais et que leur Utopia toute pourrie c'est du caca comparé à leur Nevo New-York avec une monarchie et tout le tatouin. Les Mutants eux lutte pour leur survie et comment dire ils ont l'habitude.
A côté de ça tu rajoutes un twist un peu sympa et social avec un retournement d'opinion publique. Les X-Men habitués a être crain et hais, mais voulant toujours s'incruster chez les sapiens, la joue sauveteur des humains contre le vilains nuage, le pékin lambda le voit encore plus comme un sauveur et surtout il évite de transformer en monstre n'importe qui.
L'humain de base préférant alors un maux connus qu'un autre pas trop et en plus qui se la joue monarchie et en a rien à battre des humains. Ben les mutants c'est cool.

Les inhumains apprendrait alors le calvaire des mutants (même s'ils connaissent un peu) et là les deux finiraient par trouver une solution ensemble.

Enfin je ferais un truc du genre. Avec peu de tapage dessus, mais plutôt des équipes cherchant à virer le nuage d'autres du coup à empêcher ça, mais pas de gros combats à la fête à neuneu.

Bah tu seras peut-être entendu, si j'ai bien compris, il va y avoir une mini inhumans vs xmen, non?

fred le mallrat a écrit:

oui il y a des minis publiées en france dans le mensuel .. une est reprise dans la future anthologie sur Batman par Risso.

Bon par contre... je suis pas d accord avec vous.. Flash n atterit pas sur une terre parallèle et c est pas du What If.
Comme Age Of Apocalypse, House Of M.. on est sur la terre principale dont l histoire a été réécrite.
Cela devient par la suite une terre parallele puisque l histoire est "réparée" (et dans le cas présent pas vraiment) et que cette réalité subsiste mais..

OK OK. Je suis d'accord avec ce que tu dis. Mais éditorialement, on est quand même assez proche d'un What If ? à la différence effectivement que Flashpoint est dans la "continuité".

Oui bien sur.
Le souci est qu a chaque fois.. l editeur veut garder l univers sous le coude car il a eu du succes.. mais AOA, flashpoint ou HoM auraient du disparaitre dés qu on revient à la "normale"
Parce que qu est ce que le Nu52 si tu lis bien Rebirth (le one shot) c est aussi une manipulation à la flashpoint, HOM et tout cela... sauf que c est resté et qu n retourne pas directement à une vieille continuité.

Lu All-New Captain America : 'Le Réveil de l'Hydra' :

De bons auteurs. Rick Remender fait de l'action non-stop pour les yeux et des pensées plus intimes pour le mental. La menace est classique, mais le rythme fait la différence. La partie graphique est assurée par ce génie de Stuart Immonen, un dieu du dessin qui comme d'habitude rend une copie de grande qualité. Finalement, du old school dans le fond et du neuf dans la forme. Pas inoubliable, mais c'est bien fait. On passe un bon moment.

Superman : Requiem :

Le Clark Kent/Superman version 'New52' est mourant : il passe ses derniers jours en compagnie des plus célèbres compagnons de sa vie, alors qu'il est confrontant à un gus comme lui. Si ça démarre plutôt bien, on ne peut pas dire que la lecture de ce final casse trois pattes à un canard. Cela ne vole pas haut, c'est vite lu et écrit en mode automatique, du balisé et du cliché vu mille fois. Après, pourquoi pas, mais ça aurait mérité d'être mieux développé. Le casting des dessinateurs est prometteur sur le papier, mais il font avec ce qu'on leur donne, et le résultat est assez passable. Bof, dommage.

The Flash by Mark Waid Book One: un numéro spécial, 2 Annual et les #62 à 68.
Bon, je ne suis pas spécialement fan du dessin de Greg LaRocque que je trouve insipide.
Bon, Wally West n'est pas "mon" Flash. Pour moi il restera le Kid Flash des New Teen Titans.
Bon, 4 numéros de Year One pour raconter Kid Flash, c'est dommage. J'aurais préféré lire les début de Wally en tant que Flash, surtout que ce qui m'intriguait le plus --comment et pourquoi Wally West a son identité connue de tous-- n'y est pas abordée. Après, la série avait 5 ans, ce n'était peut-être pas nécessaire de revenir là-dessus.
Donc la série régulière n'est présente que sur 3 numéros, un peu trop court pour se faire un véritable avis autre que "moui, ça va, on ne peut pas avoir un autre dessinateur ?".
Au final, les récits épiques sont dans les Annuals. Le premier est un What If avec un Wally rangé des voitures père de famille, le second une grosse baston contre les Rogues avec Eclipso qui s'incruste mais avec une fin qui ne résous absolument rien. Cet Annual est dessiné par Travis Charest, très 90's, qui oscille entre du Jim Lee et du David Finch, j'ai plutôt bien aimé.

SgtPépère a écrit:

Lu Batman Rebirth et Justice League Rebirth. J'ai passé un bon moment.

Concernant Batman, c'est Detective Comics qui m'a le plus convaincu. La cour des hiboux me sort un peu beaucoup par les yeux et j'ai une bonne idée sur la nature du couple de super-gugusses qui sont à Gotham.

Ah bon déjà ? Moi j'ai personne en tête. tu pense à qui ?

Judge Dredd / Aliens : Infestation :

Wetta propose ici les crossovers entre le fameux Judge Dredd british et les célèbres monstres de science-fiction de la Fox. Le choix se porte vers une édition luxueuse : album grand format, couverture cartonnée métalisée, prix gonflé. Ici, la mini-série datant de 2002. Et ça commence sur les chapeaux de roues dès la première page, pour ne jamais relâcher la pression jusqu'à la fin. C'est quasiment de l'action costaude tout du long, en passant par quelques passages vraiment gore. Le rythme, le ton, l'approche in your face, font grandement leur effet. C'est bourrin et ça ne se relâche jamais, c'est foisonnant. Le scénario de John Wagner & Andy Diggle est très efficace, le dessin de Henry Flint y va à fond, et la colorisation de Chris Blythe est réussie. Un pur morceau d'exploitation, généreux, c'est du bon, mangez-en.

Les nouvelles aventures de Zembla n°1 :

Cet album présente une réédition du passage de l'excellent Thierry Olivier sur le personnages, avec en sus un petit récit inédit et quelques illustrations. Même s'il a ses limites et que les proportions sont parfois ratées, j'ai beaucoup d'affection pour le style du dessinateur. Très appliqué, détaillé, avec un encrage millimétré, une gestion des ombres savante, bref ça a un charme fou, aux relents de rétro. Les histoires sont au diapason, tout ce qu'il y a de plus simple et old school, de la BD populaire sans autre ambition que de divertir. C'est joli et suranné, tout simplement.

Deadly Class #22 à #26 Après le final spectaculaire du dernier arc, on repart pour une nouvelle année dans cette bien étrange école avec une nouvelle promotion qui fait ses débuts. J'accroche toujours bien à cette série de Remender qui réserve son petit lot de surprises et de scènes d'action spectaculaires. A ce titre, l'épisode 26 est assez épatant et il me tarde d'attaquer la suite.

Ms Marvel #13 Episode certainement paru au moment des élections américaines car c'est un plaidoyer assez scolaire pour motiver les gens à voter. Sans grand intérêt.

Justice League Saga HS 2 : soit la totalité des épisodes de Formerly Known as The Justice League : alors je découvre totalement cette équipe, que je ne connais que de réputation. Et là, en fait, c'est un bonus que les auteurs nous donnent des années plus tard ! Eh bien, dès le premier épisode, j'ai savouré comme j'ai rarement savouré un mag ces dernières années ! J'ai même lu qu'un épisode par soir pour faire durer le plaisir (et faut dire aussi que je lisais ça tard et vu la masse de dialogue ...). J'ai trouvé ça vraiment excellent, peut être mon travail préféré de DeMatteis, tant j'ai rigolé et pris du plaisir à lire ça. C'est presque étonnant je trouve de lire ça chez DC (mais c'est sûrement parce que je connais mal la compagnie). C'est presque adaptable à la télé en plus (je suis sûrement à côté de la plaque, mais y a un côté Big Bang Theory là-dedans, je trouve). Jay Wicky a dû prendre un pied monstre à traduire ça (et il a été fin, notamment dans le dernier épisode).

Je me demande bien pourquoi Panini est passé au travers de ça !

PS : et je comprends beaucoup mieux certaines réactions de lecteurs au tout début de la Crise d'identité !

surtout que la 2eme mini est sortie en même temps ou juste avant Id Crisis.

Bon aprés, je préfère quand même l ongoing de 1987 qui a autant d humour mais plus d intrigues.
Et pour moi dans le travail de Dematteis il ya quand même avant son run sur Cap, Kraven Last Hunt, ses Amazings et Spectacular, Ses Doc Strange (Shamballah inclu), Seekers into the mystery ..

Cap et Doc, connais pas, Spectacular et/ou Amazing, je n'ai pas tout aimé (même s'il a des choses marquantes)

Toute la justice league international a été rééditée il y a pas si longtemps en recueil en VO et je crois qu'Urban a sorti un premier volume aussi non?

La première ongoing est bien sympa (j'ai acheté tous les tomes réédités, c'est dire) mais elle est quand même datée et sans doute légèrement plus sérieuse que les deux mini plus récentes. Dans la JLI, tu as quand même Batman et Jon qui sont résolument sérieux alors qu'il n'y a quasiment que des rigolos dans les minis. Après ce qui me sidère toujours, c'est de me dire que DC a osé faire d'une de ses séries phares, une série comique pendant plusieurs années.

Et pour en revenir à la réaction des lecteurs de je sais plus quelle crisis, je crois savoir que Giffen et DeMatteis s'étaient aussi insurgé du sort réservé à Maxwell Lord et avait volontairement conclu "I can't believe it's not the Justice league" avec une case montrant Maxwell et Blue Beettle bras dessus, bras dessous.