Comics du jour, bonjour

Deadwood Dick t.1 Du très bon western en N&B que ce soit au niveau de l’histoire ou du dessin. Ca ne révolutionne en rien le genre, mais c’est du solide.

Hellboy &BPRD t 6 Retour de Fegredo pour une petite histoire, ça fait toujours plaisir. A noter aussi la présence d'Adam Hughes pour une histoire bien sombre sur Krampus. Pour le reste, encore un bon moment de lecture que nous offre Mignola


Captain Marvel #1 à #5 Une nouvelle fois, j'apprécie beaucoup le travail de Kelly Thompson. Les numéros sont denses, bien dialogués et ça castagne ce qu'il faut. Très sympa.

Lu Star Wars : Docteur Aphra tome 6 'L'effroyable super-arme rebelle' :

La malice généreuse de Simon Spurrier continue bien entendu dans ce nouvel opus, avec ce mélange de réflexions, d'humour noir osé, et d'action. Par contre, ça ne suit plus au niveau de la partie graphique : des artistes inconnus se succèdent sans éclat et avec fadeur ; c'est fonctionnel et ça se suit, mais on a vu souvent bien mieux. Mais même si de ce côté-là c'est plutôt décevant, heureusement la lecture est toujours aussi savoureuse et bonne.

soyouz a écrit:

[b], en omettant quand même celui effectué par Chaykin, une hérésie !!!) Theater of War.

Traduit dans Marvel les decennies : les années 50

soyouz a écrit:

Y a des récits de guerre pour lesquels je ne suis pas vraiment fan. Du genre, il faut sauver le soldat Ryan, où quand la fin est arrivée, j’ai sorti un « c’est tout ? ». « Tout ça pour ça ? ». J’ai sûrement un problème/carence de culture de ce côté-là avec l’armée, l’esprit militaire, la guerre ou tout ça (mais en soit, je ne m’en porte pas plus mal). Et là, même si je comprends le sujet, j’ai pas trouvé ça mauvais, j’ai eu un mal de chien à avoir envie d’enchaîner deux épisodes. Déjà, y a pas le côté « à suivre ». Mais bon, j’ai pas vraiment de plaisir à lire cet album, ni même de déplaisir pour autant. Le dernier épisode, j’ai cru comprendre l’esprit de « ruche » sur l’âme de la patrie, mais ça m’a presque saoulé en fait.
J’ai quand même une préférence pour le deuxième épisode de l’album (le #5 US si vous suivez bien), avec sa fin touchante quand même.

pas vu l interet non plus...
Celui de Chaykin est le plus interessant et encore c est pas indispensable

fred le mallrat a écrit:

Traduit dans Marvel les decennies : les années 50

Arf ! Je croyais qu'il y avait que des récits datant des années 50.

Toutes les histoires des 50's plus ce chaykin

Lu Star Wars : Cible Vador :

Une mini-série écrite par Robbie Thompson qui nous donne ce que l'on peut en attendre. Des mercenaires traquent le Seigneur Sith dans un récit d'action. Du coup, ça se lit assez vite, mais la caractérisation des personnages n'est pas oubliée. Après un premier épisode dessiné par l'escellent Marc Laming, c'est Stefano Landini qui illustre la grosse majorité de ce titre, dans un style clair et efficace. La colorisation est elle aussi très chouette.

Spiderwoman #1-6: Entre costume moche, twists foireux et réactions incroyables des protagonistes, c'était vraiment pas bon. J'en ai quand même lu 6.

je serais pas aussi dur mais oui ca fait mal apres les excellentes séries de Hopeless..
Là c est vrai qu on a du mal a y croire... pour moi c est plus une série basique quoi... ca se lit ca s oublie

Oui bon ce n'est peut-être pas la purge totale non plus mais ça n'a aucun intérêt.

Gotham by Gaslight : j’ai relu avec plaisir le Gotham By Gaslight et cette fois-ci en couleur. Alors oui, y a pas de grandes surprises sur l’identité de Jack, mais je retrouve que le elseworld fonctionne bien et que Mignola est idéal pour ce genre d’ambiance crasse.
Pour le Master of the Future, qui est une suite, je suis quand même plus mitigé. Certes, c’est volontaire que l’ambiance soit plus coloré (et donc les pages aussi), mais j’ai trouvé l’histoire totalement insipide. Les dessins de Barreto sont plutôt sympa pourtant, mais je n’ai pas réussi à m’intéresser à l’histoire. J’ai trouvé que ça tombait comme un cheveux sur la soupe, tout ça.

Lu Star Wars : Bounty Hunters tome 1 'Les plus dangereux de la galaxie' :

Le titre de la série donne le ton, on est bien sûr devant de l'action trépidante. Le scénariste Ethan Sacks maintient l'attention en jonglant entre les personnages, leurs relations et les temporalités. Il est aidé dans cette solidité et efficacité par l'artiste Paolo Villanelli, dont le trait énergique regorge de détails et présente un dynamisme constant : un style impressionnant qui fait assurément son effet. Et la colorisation de Arif Prianto va également dans ce sens, minutieuse et flamboyante. Ouais, franchement, ça tabasse.

Astronaute - Au cœur du magnétar : c’est pas mal du tout, ça. Peut être rapide à lire, mais pas mal.
Donc, c’est une histoire du personnage du Brésilien Mauricio de Sousa, librement réadapté par Danilo Beyruth.
Si j’ai bien compris, l’album fait partie d’une collection (créée par Panini Brésil) de réadaptations des nombreux perso de De Sousa. Je ne sais pas combien il y en a eu là-bas, mais en France, sauf erreur de ma part, on est resté qu’à cet album.
Alors, c’est de la SF parce que le héros est sacrément bien équipé pour voyager dans l’espace (infini), mais ça s’arrête là. Y a aussi un côté Crusoé. Ce n’est pas forcément novateur, mais c’est sympathique à lire et c’est aussi bien gratté (j’aime beaucoup). Et la mise en page est plutôt dynamique, énergique, vif et il y a un bel effet rendu pour expliquer que le temps passe (ça prend deux pages, mais c’est bien vu).

Bref, je ne sais plus comment cela a été vendu par Panini, mais c’est plutôt sympathique

Wolverine: Ennemi d'état; Millar/Romita Jr./Andrews: à l'étroit.
Mark Millar a tendance à voir grand: Ultimates ou Civil War ont une vision globale, mondiale des événements et cette vision a la place de s'y développer. La série Wolverine est trop petite pour cette histoire de l'Hydra en collusion avec La Main qui tuent des super-héros afin de les ressusciter pour qu'ils travaillent pour eux suite à un lavage de cerveau. N'étant centré que sur le personnage de Wolverine, on "rate" la vision d'ensemble et dans ce cas c'est synonyme avec la grandeur du récit.
Pourtant le scénariste n'est pas avare en scènes de destruction massive. Mais comme l'origine se borne à être Wolverine qui découpe et tranche, ça reste "petit". Malheureusement, ça ne fonctionne pas mieux lorsqu'on aborde le côté close and personal. La faute à un dialogue intérieur lourdingue et souvent horriblement écrit (la faute à la traduction ?). La vendetta de Wolverine n'est pas particulièrement intéressante et on atteint un côté assez ridicule avec la toute puissance de Gorgone.
Le dernier numéro n'appartient pas à cet arc narratif mais plonge le personnage dans un camp de concentration lors de la seconde guerre mondiale. Loin de sauver les prisonniers, Wolverine se contente de ne pas mourir ce qui rend fou le commandant en charge. Il faut dire que ce dernier n'est pas très efficace: il ne pense jamais à décapiter Wolverine. Millar, dans sa post-face*, sort la carte "Will Eisner approved" mais ce dernier n'a pas lu le numéro.
Les 11 premiers numéros sont dessinés par un John Romita Jr. en très très petite forme. Kaare Andrews s'occupe du dernier et il rend une parfaite ambiance fantomatique à cette histoire.

*où il y est fait référence à Spider-Man: Red Son, bravo le traducteur et l'éditeur !

Batman : Death Metal tome 3 :

Urban Comics a décidé de publier la mini-série et tous ses tie-in, qui sont bien plus nombreux. Du coup, il y a de quoi faire et c'est varié, mais ça ralentiy le rythme de l'intrigue. On commence ici par un arc de la série Justice League par Joshua Williamson, Xermanico et Robson Rocha. Même si l'on suit des personnages secondaires, l'aventure est épique et superbement illustrée. Un seul épisode de la mini-série de Scott Snyder & Greg Capullo, c'est peu, alors on en profite. Si le propos du scénariste part dans des complexifications stratosphériques, l'artiste rend toujours une copie aux petits oignons. Cet épisode est entouré de deux gros morceaux, anthologies d'histoires courtes, divertissantes mais dispensables. Par des auteurs divers et variés, avec des idées plus ou moins sympas, dont notamment du Lobo en veux-tu en voilà, ce qui est toujours bon à prendre bien entendu.

John Carpenter's Night Terrors: 13 Horsemen TPB :

John Carpenter n'est pas auteur ici, il est juste prête-nom à la boîte de sa femme. Il n'empêche que cet album me faisait envie, par l'identité de son vrai auteur, qui d'ailleurs se charge de tout ici : l'artiste Nat Jones. Il nous propose un pur divertissement badass : des bikers chassent des démons, et vice versa. Voilà, point barre, ça ne raconte pas autre chose. Ni de début ni de fin, le récit ne s'embarasse d'aucun message, pour se plonger pleinement dans le genre. C'est de l'action décomplexée et des jurons en pagaille, dans un rythme trépidant et décompressé. La partie graphique est particulièrement efficace, entre trait rugueux et colorisation à la Ashley Wood ou Ben Templesmith, qui sied parfaitement au genre horrifique.

Deadpool: Nerdy 3O #1 :

Cette année Marvel fête le 30ème anniversaire du mercenaire disert, et sort ce one-shot anthologique. Une cinquantaine de pages composées de huit courts récits de cinq pages chacun. Par des auteurs qui ont marqué le personnage et son univers. C'est ainsi que l'on a entre autres Kelly, Young, Nicieza, Simone, Way, Duggan, Liefeld, Sandoval, Zircher, Medina, Koblish... Parfois obscurs, parfois bien vus, toujours drôles, prenant en compte ses acolytes ou ses origines, c'est franchement bien rempli et sympa. (Et Liefeld fait le flemmard à l'intérieur, mais pas pour sa couverture variante !)

Spawn : Renaissance 8 :

Todd McFarlane a décidé de faire drastiquement évoluer son univers, et cela se voit. Cela bouge vraiment dans la série, avec des avancées nombreuses et ambitieuses. Cela fourmille d'idées, de surprises, à un rythme trépidant. Une générosité indéniable, qui par contre est un peu gâchée par une narration pas réellement maîtrisée et des dialogues souvent aussi lourds que vides. La partie graphique est comme toujours un régal pour la rétine. Jason Shawn Alexander a un style de caractère qui sied parfaitement au personnage. Cet opus contient le fameux épisode Spawn #300, trois fois plus long. Lui aussi rempli de retournements, dans la droite lignée de ce qui précède, il bénéficie surtout du travail d'artistes invités qui font longuement le spectacle : l'éternel et génial Greg Capullo - qui restera sans doute le meilleur dessinateur de la série - et la star J. Scott Campbell.

A part un arc un peu faiblard ouù Carole en costume immon de doit se taper tous les Avengers, j’aime vraiment ce que fait Thompson avec le personnage. Ca n’a rien de révolutionnaire, mais c’est bien rythmé, inventif, divertissant et drôle.

moi j en peux plus
c est pas du tout subtil, on a deja deux arcs dans un futur probables, 2 de bastons pures (avengers et star)...

Je relis Marshal Law. J ai fini la 1ère mini qui est le tiers de ce bouquin et quelle claque!!
Je ne l avais pas relue depuis 20 ans peut-être.
Je me souvenais de la satire, du côté drôlement dérangeant ... mais j avais oublié pas mal de propos sur les guerres de la CIA en amérique du sud par exemple mais aussi la charge médiatique devançant de 20 ans la téléréalité !

Ce bouquin flingue les superheros, les héros qu on érige sur le devant de la scène mais au fond tous les mensonges de la société et que chacun de nous dit pour se regarder dans la glace! Il les flingue, les éventrer pour démonter leurs mécanismes!
Le dessin de oneil est au vitriol, ingrat, remplit de tags, "moche" mais d une efficacité extraordinaire.
MarshalLaw je t aime autant ou plus qu a ma première lecture chez Zenda en 1989!

fred le mallrat a écrit:

moi j en peux plus
c est pas du tout subtil, on a deja deux arcs dans un futur probables, 2 de bastons pures (avengers et star)...

J’ai un faible pour les futurs improbables. ^^^
Mais oui je vois ce que tu veux dire. Je pense qu’en les lisant d’une traite, ça passe plus facilement.

Star Wars The High Republic #1 Ce premier épisode constitue une histoire complète plutôt sympathique avec pas mal d’action. Difficile encore de savoir qu’elle sera le ton de la série, mais comme ça se passe avant les films, le scénariste aura peut-être un peu plus de liberté.

Eternals #1 Un premier numéro qui permet à tout le monde d’être à peu près au point sur les Eternals tout en lançant son intrigue. Très envie de lire la suite et je trouve que Ribic a un côté très Moebuisien sur cette série.

The Punisher : L'Intégrale - 1974-1981 :

J'ai ces épisodes en V.O., mais je m'étais toujours dit que si Panini se lançait dans le titre, je me jetterai dessus pour suivre. Avec ce premier tome, nous sommes bien sûr dans des épisodes des années 70 précédant sa première série. L'éditeur les publie tous par ordre chronologique. Il y a dont beaucoup de Amazing Spider-Man par Gerry Conway et Ross Andru, là où est apparu en premier lieu le personnage. On retrouve toujours avec plaisir toutes les saveurs de la série de l'époque, un soap ininterrompu bardé de personnages et d'action se passant à New York. Cela marche encore et toujours, un plaisir éternel. Bien sûr, le personnage plus direct et violent du Punisher détonne de la plus belle des manières dans ces récits enlevés. Il y a aussi du Len Wein, Marv Wolfman et Keith Pollard, un épisode de Captain America, et un Annual franchement marrant signé Dennis O'Neill & Frank Miller. Puis il y a aussi quelques passages plus graves, et d'autres plus matures, avec ces deux histoires illustrées de main de maître par un Tony DeZuniga tout simplement impressionnant. Bref, tout ça, c'est un régal. Même s'il faut se farcir bien entendu la traduction et le lettrage de Panini.

Deadpool :

Il s'agit-là du softcover que vient de sortir Panini, dans la collection qui je crois s'intitule "Marvel-Verse". Une bonne centaine de pages en (très) petit format. On a ici quatre épisodes sand-alone, deux réguliers de 20 pages et deux Annuals de 30 pages. Le premier est un spécial Noël par Skottie Young et Nic Klein, tordant et mordant et au graphisme qui tabasse. Dans le deuxième Deadpool est confronté à Madcap, par Acker, Blacker & Shaner, qui va loin dans le délire en roue libre. Le troisième il remplace Spider-Man harcelé par le Caméléon, par Hastings & Camagni, et les quiproquos sont drôles. Et enfin on l'a en version comédie musicale, par Daniel Way & John McCrea, mais d'adaptation, aussi enlevée soit-elle, n'a pas fonctionné sur moi.

Shadowman l'intégrale : Plutôt classique dans les 9 premiers épisodes, hein. Un peu de Vaudou, un peu de société secrète protectrice d’un côté, une autre qui veut foutre l’enfer sur Terre pour avoir la vie éternelle et au milieu de tout ça, un « héros » qui subit son héritage familiale. Classique je vous dis, mais qui se lit pas mal. Par contre, j’ai essayé de voir une logique à la mixité des dessinateurs à chaque épisode, j’ai pas compris. Pas grave, je suis fan de De la Torre.
Mais par la suite, l’épisode #10, qui crée un diptyque avec le #0, donne un truc intéressant, surtout sur la fin. Et je trouve dommage que Jordan quitte le navire à la suite de ça, parce que j’ai l’impression que Milligan n’a pas eu la même interprétation de la scène de création du Shaowman. Alors, je me fourvoie peut être, mais je ne sais pas s’il Jordan a expliqué la genèse du héros. J’aurais bien aimé savoir ce qu’il en était réellement, parce que l’impact aurait été différent et la série aurait pu se démarquer un peu de son côté Vaudou (donc si quelqu’un interviewe Jordan, j’ai une question pour lui. Très précise !)

Cela dit, même si Milligan prend la ligne droite vers le Vaudou, il explore une facette plus morale et mentale du perso. C’est peut être un tout petit peu long (mais légèrement), et l’ambiance n’a rien à voir avec les 9 premiers épisodes. C’est très, très noir, dépressif. Et je n’ai pas l’impression que Milligan soit très clair sur les actions réelles de son perso et j’en suis à me demander si dans son cas, il ne paie de ses crimes. La présence de Punk Mambo apporte un légèreté sympathique et une direction aussi. Mais les joyeusetés sont de courtes durées, et le dernier arc est d’une sombritude … jusqu’au bout du bout. End Times porte bien son nom. C’est familialement glauque, quand même. ça ne laisse pas indifférent.
Heureusement, la touche de vengeance froide anglaise à la Constantine apporte le sourire bien manquant dans cette fin d'album via Punk Mambo#0

BRZRKR #1 :

Oui. Le fameux comics créé par l'acteur Keanu Reeves. Dans le fond, c'est un retour borné aux travers extrêmes (Extreme) des années 1990 : un agent immortel rempli des missions en tuant tout sur son passage. En résulte en ouverture de cette série une très longue scène d'action avec peu de textes, prétexte à de la bastonnade jouissive et à des débordements ultra-gorissimes sans aucunes limites. Les bribes d'informations viendront sur la fin de l'épisode, une fois le rythme calmé. Une quarantaine de pages fort vites lues, quelque part pas forcément originales, mais quelque part aussi suffisamment accrocheuses et efficaces. Du pur divertissement décérébré qui s'assume, on ne va pas se plaindre. C'est dessiné par le vétéran Ron Garney, qui gribouille tout ça à la va-vite mais pas sans caractère, en remplacement inexpliqué de l'artiste initialement annoncé : Alessandro Vitti.

Dollar Comics : Birds of Prey #1 :

Le premier épisode de la série par Chuck Dixon & Greg Land, au ton léger, dont les composantes de l'intrigue et la caractérisation des personnages sont réussis. C'est ma foi bien sympathique, et le choix de focaliser une série sur ces filles étaient une bonne idée à l'époque.

Dollar Comics : Robin #1 :

Là aussi, premier épisode de la série, écrite par le même Chuck Dixon, et dessinée par le regretté Tom Lyle. Tim Drake part à Paris pour se former, et va finir par s'embrouille avec un gang. C'est vraiment chouette à tous les niveaux, même si l'on doit composer avec tous les codes de l'époque.