Lecture Manga, BD et romans

Ah ben mince, c'est vrai, je n'avais pas tilté que c'était un roman avant d'être adapté en comics chez Dark Horse. Bon ben d'après ce que tu en dis, je ne sais pas si je vais suivre la deuxième mini-série. La première ne m'avait pas tellement emballé mis à part les dessins d'Huddleston.

Gendar a écrit:

Une lecture popcorn un peu bissante.

Hum, ça veut dire quoi ? Parce qu'en regardant sur le net, "bisser" ne va pas avec ce que tu as dit précédemment !

Je crois pas que le terme existe vraiment. C'était pour dire que certains trucs me faisaient penser à du cinéma bis.

Gendar a écrit:

Je crois pas que le terme existe vraiment. C'était pour dire que certains trucs me faisaient penser à du cinéma bis.

http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/bisser/

Et c'est quoi du "cinéma bis" ?

soyouz a écrit:

Gendar a écrit:

Je crois pas que le terme existe vraiment. C'était pour dire que certains trucs me faisaient penser à du cinéma bis.

http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/bisser/

Et c'est quoi du "cinéma bis" ?

Raaah, faut tout lui expliquer au chat. Du cinéma bis, c'est la limite du cinéma de genre, proche du nanar. En tout cas, c'est ce que je mets derrière "bis" quand on parle de cinéma.

En même temps, je suis sûr que certains ne savent pas, mais ne posent pas la question. Je le sais, c'est comme ça depuis que je vais à l'école. Quand ils ne savent pas, les gens préfèrent rester dans leur ignorance.
Je ne suis pas quelqu'un d'intelligent, futé et intellectuel, mais quand je en comprends pas, je n'ai pas honte de le dire ! 

(et puis c'est un petit échauffement pour l'après-WE pour toi, Pépère ! Merci d'ailleurs ! )

SgtPépère a écrit:

soyouz a écrit:

Gendar a écrit:

Je crois pas que le terme existe vraiment. C'était pour dire que certains trucs me faisaient penser à du cinéma bis.

http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/bisser/

Et c'est quoi du "cinéma bis" ?

Raaah, faut tout lui expliquer au chat. Du cinéma bis, c'est la limite du cinéma de genre, proche du nanar. En tout cas, c'est ce que je mets derrière "bis" quand on parle de cinéma.

Voilà c'est ça. J'avais hésité à définir cinéma bis, j'aurai du. 

N’empêche, le terme "bisser" semble exister !

soyouz a écrit:

N’empêche, le terme "bisser" semble exister !

Oui, oui ce terme là existe et veut bien dire réclamer un rappel.

Quand je parlais de définir, c'était plus pour le cinéma bis que j'aurai du décrire. Pour bissant, je n'aurai même pas du l'employer et trouver une meilleure formulation. Mais en même temps, je réfléchis pas toujours 3h avant de poster. 

N'empêche que pépère t'a compris, c'est donc que c'était explicite .. pour les initiés ! 

J'ai plusieurs fois été à deux doigts de me prendre la trilogie, mais les commentaires de Gendar m'ont refroidit...

Snuff de Chuck Palahniuk qui se caricature avec ce roman. Il multiplie les anecdotes, le glauque semble forcer, Et l'histoire ne décolle jamais vraiment et peine à faire vivre une idée de départ pour le moins originale. Heureusement, le format court et le style de l'auteur permettent d'arriver au bout de cette histoire. Mais il s'en est fallu de peu que l'ennui me fasse reposer le livre avant sa conclusion foireuse.

Fini le premier cycle de l'assassin royal (il y a un moment en fait). J'ai passé un très bon moment mais la toute dernière partie est tout de même un peu molle et décevante. A coté de ça, il y a quelques erreurs qui montrent clairement que l'auteur ne savait pas tout à fait ou elle allait quand elle a commencé.

Fini La longue Terre roman bizarroïde de Terry Pratchett (le Disque-Monde) et Stephen Baxter (autre auteur classique de SF mais dont je n'ai rien lu). Difficile de dire si j'ai aimé ou pas: je ne me suis absolument pas ennuyé et le bouquin est agréable même si on retrouve moins de blagues que dans les bouquins de Pratchett. Ce qui me dérange le plus, c'est qu'avec la fin du bouquin, on sent bien que beaucoup de questions ne seront pas résolues, à tel point que j'ai vérifié s'il s'agissait d'un tome un ou non.

C'est censé être un bouquin qui se tient tout seul mais avouons que, dans ce cas-là, le lecteur aura loisir de penser au destin des différents personnages.

Et en fait, il y a déjà une suite "The Long War" parue en anglais. Donc je le prendrai pour lire la suite de cet agréable roman, spectaculaire même si sans beaucoup d'action et qui pose beaucoup de question quant à l'humanité.

Bon, il était bien ce bouquin, voilà. Juste une impression de trop peu.

Chaos Team second tome de la saison 1 : Il y a du twist, du renversement de situations, par contre le côté barbouze à disparut et j'ai pas aimé certaines évolutions. Malgré tout je reste fidèle à l'équipe que je trouve très bien, même si j'ai trouvé les personnages moins travaillé et bizarrement l'équipe Chaos absente de son propre titre. Il y a des moments c'est comme si elle n'était pas là.

brodieman a écrit:

monty python - petit précis d'iconoclasme : je n'en suis qu'au 1er tiers pour l'instant mais c'est déjà une mine d'information passionnante sur les python et leur inspiration.

Enfin fini et c'était passionnant de bout en bout.
Malgré une grosse affinité avec l'humour britannique depuis le lycée, je ne suis pas un gros connaisseur des pythons, seulement les films et ce que est passé sur arté il y un paquet d'années maintenant. Je dois dire que le bouquin m'a vraiment donné envie de m'y plongé un peu plus.

Céd a écrit:

Joe Strummer a écrit:

BD:
-La lesbienne invisible

Ah tiens, j'attends ton avis sur cet album.

alors j'ai bien aimé. ça démonte,avec beaucoup de malice et d'auto-dérision, beaucoup de clichés qui perdurent et,visuellement, c'est très chouette.
je suis assez bluffé par la capacité à changer de style de S. Revel

Merci pour cet avis.  

Je vais peut-être le prendre.

Le dernier restaurant avant le fin du monde: suite du Guide Galactique, j'ai dévoré ce bouquin assez court (avec mon rythme de lecture qui est ce qu'il est). On retrouve tous les personnages avec des scènes absolument non-sensiques, ridicules, ou parfois mâtinées d'une certaine philosophie. En tout cas, on voit bien comment Douglas Adams démonte le système dans lequel nous vivons par le biais de la SF complètement foutraque.

Il me semble avoir attaqué ce second tome après le premier et avoir été un peu fatigué par la redondance. Après une longue pause, il n'en est rien mais j'ai senti parfois qu'Adams faisait appel à certains ressorts de manière trop répétitive pour être efficace à chaque fois. Ca n'enlève rien au plaisir que j'ai eu à lire ce roman. Je ferai une autre pause (plus courte cette fois) avant d'attaquer le tome 3.

Lu: Tyler Cross #1.

Tyler Cross est un braqueur du genre efficace.
Pragmatique, expérimenté, même devant une situation compliquée, il s'adapte.
Et là, on peut dire que la situation est assez complexe.
Ainsi, il se retrouve avec 17 kg de drogue, sans partenaire, son commanditaire dans la pègre seul au courant décédé et pourchassé par la famille dudit commanditaire.
Comble de malchance: il est dans un "ploucville" du Texas mené par une famille de dégénérés criminels.
Sans argent, pas facile de se tirer de là, surtout quand on attire l'attention des locaux.
Mais je l'ai dit: Tyler Cross est pragmatique, expérimenté... et c'est un salopard de première.
Nury et Brüno nous offrent un polar bien foutu.
Scénario simple mais bien géré. Bons dessins et jolies couleurs.
Bref, du bon travail.
Je pense que je prendrai le tome 2 pour une nouvelle histoire dans ce registre.

Céd a écrit:

Lu: Tyler Cross #1.

Tyler Cross est un braqueur du genre efficace.
Pragmatique, expérimenté, même devant une situation compliquée, il s'adapte.
Et là, on peut dire que la situation est assez complexe.
Ainsi, il se retrouve avec 17 kg de drogue, sans partenaire, son commanditaire dans la pègre seul au courant décédé et pourchassé par la famille dudit commanditaire.
Comble de malchance: il est dans un "ploucville" du Texas mené par une famille de dégénérés criminels.
Sans argent, pas facile de se tirer de là, surtout quand on attire l'attention des locaux.
Mais je l'ai dit: Tyler Cross est pragmatique, expérimenté... et c'est un salopard de première.
Nury et Brüno nous offrent un polar bien foutu.
Scénario simple mais bien géré. Bons dessins et jolies couleurs.
Bref, du bon travail.
Je pense que je prendrai le tome 2 pour une nouvelle histoire dans ce registre.

Je l'ai suivie mensuellement chez Professeur Cyclope, une des meilleures séries de la revue, incontestablement. Ceux qui ont aimé Parker devrait apprécier.

Meridia 1-3: histoire complète d'héroic fantasy avec un trio de héros assez particulier. Les tensions entre personnages sont bien gérées tout comme l'aventure principale et ceux qui tirent les ficelles. Le monde est aussi intéressant dépeignant une Italie avec un système de dieux ingénieux. En plus, il y a les dessins de Joël Mouclier (Dragons, Semio, ...) et c'est un véritable plaisir de le retrouver. Ceci étant, ça n'est pas pour tous les lecteurs parce qu'il y a du sang et du sexe.

Le Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley. On dit souvent que la vision du futur d'Huxley est plus juste que celle du 1984 d'Orwell. J'aurai tendance à dire que c'est un mélange des deux que nous vivons. Mais d'un point de vue plaisir de lecture, j'ai ressenti beaucoup plus d'émotions à la lecture de 1984. Huxley est beaucoup trop didactique et on n'a bien du mal à s'attacher à un des personnages car ils sont tous assez antipathiques. C'est un choix comme un autre, mais du coup, difficile de s'intéresser à leurs mésaventures. Reste une oeuvre assez admirable sur le fond mais un peu froide.

Double Etoile de Robert Heinlein : Un acteur est engagé pour servir de doublure à un politicien quelques heures. Une histoire de SF assez légère qui se suit sans déplaisir. Pas de grand concept, mais une intrigue rythmée qui traite de l'art de la comédie, de la politique et des coulisses du pouvoir. Le style de Heinlein est très agréable.

Temudjin Un très joli one-shot qui puise dans les légendes mongoles. Il y a quelques transitions maladroites, mais dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé, ne serait-ce qu'au niveau visuel.